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Cette activité veut familiariser les élèves avec les techniques de marketing utilisées dans les pubs sur les aliments tant à la télé que dans les magazines.
Cette activité veut familiariser les élèves avec les techniques de marketing utilisées dans les pubs sur les aliments tant à la télé que dans les magazines.
Cette leçon permet aux élèves de se pencher sur les pressions exercées par notre société pour se conformer aux normes de beauté, en particulier pour être mince, et les préjugés associés au surpoids. Par le biais d’une discussion et d’activités en classe, les élèves pourront reconnaître comment les médias nous poussent à avoir une certaine apparence, comment les images dans les médias peuvent entraîner des préjugés à l’égard de ceux qui ne se conforment pas à leurs normes de beauté, et dans quelle mesure le corps idéal est différent dans le monde et a changé au fil du temps.
Dans cette activité de trois jours, les élèves participeront à un sondage qui les amènera à mieux comprendre leurs comportements et perceptions face au monde du sport et de la publicité.
Dans cette activité de trois jours, les élèves de 4e à 6e année étudieront les tactiques employées par les compagnies d’alcool qui profitent du sport et des événements sportifs pour mousser la vente de leurs produits et influencer les consommateurs – en particulier les jeunes.
Le sextage – et, surtout, nos préoccupations à cet égard – est souvent dépeint comme étant un phénomène touchant essentiellement les filles; il peut donc être surprenant que des données de l’étude Jeunes Canadiens dans un monde branché (JCMB) de HabiloMédias montrent que les garçons et les filles sont tout aussi susceptibles d’envoyer des sextos d’eux-mêmes.[i]
Il existe peu de preuves que l’envoi de sextos est en soi un acte risqué : par exemple, une étude menée en 2018 suggère que « les sextos peuvent être un moyen sain pour les jeunes d’explorer la sexualité et l’intimité lorsqu’ils sont consensuels ».
Les études portant sur les aspects sexospécifiques du sextage montrent systématiquement que tandis que les garçons qui envoient des sextos sont peu critiqués, les filles qui le font sont perçues comme étant sexuellement immorales: on considère que les filles qui envoient des sextos utilisent leur sexualité pour obtenir de l’attention alors qu’on assume que les garçons (même si leurs sextos deviennent publics) le font pour obtenir l’attention d’un seul partenaire potentiel [1].
La recherche de HabiloMédias a examiné l’impact de quatre mécanismes de désengagement moral.