Gagner au jeu de la cybersécurité
Dans cette leçon, les élèves discutent de leurs expériences en ligne et apprennent à réduire les risques qui pourraient y être associés.
Dans cette leçon, les élèves discutent de leurs expériences en ligne et apprennent à réduire les risques qui pourraient y être associés.
Cette leçon permet aux élèves d’explorer et de discuter des aspects juridiques de la cyberintimidation.
L'industrie de la musique va mal. Et c'est la faute d'Internet.
Pourquoi ? A cause du partage de fichier ( « Peer to Peer », ou encore P2P) –la bête noire des maisons de disques.
Je n'ai pas eu la chance d'assister au Colloque international du CEFRIO intitulé Enquête sur la génération C : Les 12-24 ans, utilisateurs extrême d'Internet et des TI . L'événement n'était pas des moindres, puisque non seulement on y dévoilait les résultats attendus de cette enquête québécoise, mais on y attendait aussi des sommités internationales comme danah boyd (c'est elle qui n'aime pas les majuscules), et d'autres du crû comme Mario Asselin, Felix Genest ou Ron Canuel. Le programme, d'autant que j'ai pu en juger de l'extérieur, semblait allier orateurs et panels de discussion en proportions stœchiométriques. Et les conditions techniques étaient à la hauteur de l'intitulé du colloque : WiFi à volonté, et salle équipée d'un écran géant diffusant en temps réel les commentaires de twitterers zélés. Pour ceux qui ne connaissent pas bien Twitter, j'explique : le CEFRIO avait mis en place pour l'événement un « hashtag », en d'autres termes une étiquette (#GenC), qui permet de rassembler tous les tweets (messages) portant ce thème en une seule liste, laquelle liste était projetée en simultané dans la salle du colloque.
En 2007, la cyberintimidation a été le sujet non académique numéro un dans les écoles canadiennes. Intimider sur Internet est plus facile qu'intimider dans la réalité: on peut opérer anonymement, sans peur des représailles, et on ne voit pas les conséquences de ses actes sur autrui – comme l'a joliment exprimé mon fils : « On n'a jamais vu un ordinateur pleurer ! »
L'ACEI et HabiloMédias ont collaboré à la création d'une série de cinq fiches-conseils visant à instruire les Canadiens sur les problèmes de sécurité en ligne. La cinquième fiche-conseils de la série, portant sur la socialisation et les interactions en ligne, examine les problèmes qui peuvent survenir en dialoguant avec d'autres par les technologies en réseau, comme le hameçonnage et les canulars, ainsi que les stratégies pour y faire face.
Je l'avoue, je fais plutôt partie des « optimistes d'Internet ».
Visiter des sites Web est l’activité la plus élémentaire sur Internet. Ce faisant, selon qu'on soit prudent et bien préparé ou non, on accède à un monde de possibilités et de divertissements où on se trouve devant une foule de problèmes.
Internet est devenu un volet essentiel de la vie sociale de la plupart d’entre nous : nous l’utilisons pour obtenir des nouvelles d’amis de longue date, garder le contact avec les membres de notre famille et pour faire de nouvelles rencontres. Malheureusement, les interactions en ligne ne sont pas toutes aussi constructives que celles-ci. Cette fiche-conseils explique certaines des situations problématiques que nous rencontrons lorsque nous socialisons en ligne et procure des conseils sur la façon de les gérer.
L'image que les médias nous donnent des hommes et des femmes se base souvent sur les stéréotypes présents dans la société. Les enfants peuvent en être affectés aussi bien dans l'idée qu'ils se font d'eux-mêmes que dans leurs relations avec les autres. Il est donc important de leur apprendre à reconnaître les stéréotypes sexistes dans les différents médias.