Production vidéo d'un téléjournal - Activité
Dans cette activité, les élèves du premier cycle du secondaire produisent en vidéo un téléjournal d'une durée de 20 minutes.
Dans cette activité, les élèves du premier cycle du secondaire produisent en vidéo un téléjournal d'une durée de 20 minutes.
Au cours de cette activité, les élèves :
Exploitation : Certaines personnes utilisent les médias numériques pour entraîner des adolescents dans des relations pour lesquelles ils ne sont pas prêts. Pour ce faire, ces abuseurs trouvent une personne vulnérable et la couvrent d’attention, de sympathie, d’affection et de gentillesse dans le but de la persuader qu’ils l’aiment et la comprennent.
Lorsque quelqu’un utilise les médias numériques pour trouver des adolescents et les entraîner dans des relations amoureuses ou sexuelles, c’est ce que l’on appelle l’exploitation en ligne.
Ce module de trois jours permet aux élèves d’évaluer la couverture médiatique de certaines catastrophes naturelles et des événements qui s’ensuivent.
Cette leçon permet aux élèves de mieux comprendre ce qu’est la désignation de boucs émissaires et la altérisation et de voir comment ces comportements attisent la haine et l’intolérance.
Plus que toute autre chose dans les médias, la couverture médiatique influence les personnes et les questions qui font partie de la conversation nationale et la façon dont ces questions sont abordées[1]. Lorsqu’il est question des peuples et des communautés autochtones, les questions politiques ou constitutionnelles, les incendies de forêt, la pauvreté, les abus sexuels et la dépendance aux drogues semblent souvent constituer la seule forme de couverture médiatique accordée aux communautés autochtones. Quelques reportages sur des activités culturelles apparaissent ici et là dans les médias locaux, mais il faut être très attentif pour les trouver.
« L’autoroute des larmes » (the « Highway of Tears »), comme on l’a surnommée, est une portion d’autoroute de 800 kilomètres en Colombie-Britannique où plus d’une douzaine de jeunes femmes ont disparu depuis 1994 ; là même où près de 20 jeunes femmes avaient disparu ou avaient été assassinées entre la fin des années 1960 et le début des années 1980. Jusqu’à tout récemment, cependant, ces crimes avaient été peu médiatisés, probablement parce que la majorité des victimes étaient des femmes autochtones.