Affiché par Marie-Josée Archambault le 11 mar 2020.
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Lignes directrices familiales sur les nouveaux appareils technologiques
Les recherches de HabiloMédias ont démontré que les enfants assujettis à des règles à la maison sur l’utilisation des appareils technologiques sont moins susceptibles, notamment, de publier leurs coordonnées, de visiter des sites de jeu ou de pornographie, et de parler à des étrangers en ligne. Une entente familiale ou un ensemble de règles représente aussi un bon moyen pour les parents et les enfants de travailler ensemble sur la façon de naviguer de façon sécuritaire, judicieuse et responsable sur Internet.
Au sujet de l’auteur : Matthew Johnson, Directeur de l’éducation, HabiloMédias. Le profil de Sada a été développée et rédigée par Grace Foran, Robert Porter, Valerie Steeves et Andrea Villanueva dans le cadre du projet eQuality.
Durée : entre 1 h et 1 h 30, suivie des activités d’évaluation
Une journée dans la vie de Jo et Josée est un tutoriel complet sur la cybercitoyenneté qui prépare les élèves de la 6e à la 8e année à gérer tous les défis auxquels ils font face lorsqu’ils utilisent la technologie numérique, de la vie privée en ligne à la cyberintimidation, en passant par l’authentification de ce qui est vrai et faux en ligne.
Dans le jeu éducatif Une journée dans la vie de Jo et Josée (Ressource sous licence), les élèves de la 6e à la 8e année aident un frère et une sœur, Jo et Josée, à gérer des situations auxquelles ils font face en ligne dans leur vie quotidienne.
Ça y est, c’est l’âge : ma fille, 10 ans, veut un compte sur Facebook. Comme plusieurs de ses amies, qui en ont déjà un depuis longtemps. Même si l’âge légal est de 13 ans… La pression est forte. La tentation est grande d’accepter à condition que « tu m’acceptes comme amie et que je vérifie tout ce que tu postes et ce que tu reçois »… Comme cette maman qui surveille les réseaux sociaux de ses enfants à partir de son téléphone cellulaire.
Peu de questions reflètent notre anxiété concernant les jeunes et les médias sociaux comme le sextage. Comme pour les technologies qui remontent au moins au télégraphe, une grande partie de cette anxiété concerne précisément les filles et les femmes, ce qui est logique dans une certaine mesure : bien que les garçons et les filles envoient des sextos à peu près dans les mêmes proportions et que les sextos envoyés par les garçons soient plus susceptibles d’être transférés, il est vrai que la société désapprouve davantage les filles qui envoient des sextos et, par conséquent, que le tort qui leur est fait est plus grand lorsque des sextos qu’elles ont envoyés rejoignent un public plus élargi que prévu.