Les enfants et la publicité
Les enfants représentent un marché très convoité en matière de publicité : ils contrôlent près de 150 milliards de dollars de dépenses seulement aux États-Unis et ont toute une vie de dépenses devant eux.
Les enfants représentent un marché très convoité en matière de publicité : ils contrôlent près de 150 milliards de dollars de dépenses seulement aux États-Unis et ont toute une vie de dépenses devant eux.
La frontière est souvent mince entre liberté d’expression et propos haineux. D’ailleurs, la définition de ce qui est acceptable ou non d’exprimer et de diffuser varie d’un pays, d’une plateforme et d’une communauté à l’autre. Sur Internet, la ligne est encore plus mince, et un commentaire haineux affiché légalement dans un pays peut être considéré illégal dans des pays où les critères sont plus rigoureux.
Les médias numériques, en particulier les réseaux sociaux et le jeu vidéo, tiennent une place toujours croissante dans la vie de nos enfants et de nos jeunes. Et même lorsqu’ils consomment d’autres médias comme la télévision, la musique et le cinéma, ils le font souvent via Internet. Par ailleurs, on retrouve une page Web, un univers virtuel, des jeux vidéo ou d’autres sous-produits numériques gravitant autour de la plupart des médias qu’ils consomment – partant du simple jouet à l’émission télévisuelle.
Fait quelque peu étonnant, ce ne sont pas seulement les élèves en difficulté qui plagient : en effet, il est possible que les élèves sur qui on fait pression pour atteindre des objectifs soient plus susceptibles d’adopter des formes plus subtiles (et plus difficiles à détecter) de plagiat1. Les chercheurs ont cerné trois situations dans lesquelles cela est le plus probable : lorsque les élèves sont sous pression (travaux qui doivent être faits dans un délai serré, travaux particulièrement importants pour leur année scolaire), lorsque les élèves ne sont pas intéressés par le travail, et lorsque les élèves estiment que le devoir est injuste au point où ils n’ont pas espoir de réussir sans tricher2.
Le chef métis Louis Riel a prétendument prédit au XIXe siècle : « Mon peuple va s’endormir pour cent ans et ce seront ses artistes qui le réveilleront. » La plupart des groupes autochtones du Canada privilégiaient la tradition orale pour transmettre une idée, un message ou une valeur.
Il est important d'aborder de façon critique les nouvelles électorales et politiques en général, et ce, pour quatre raisons.
La pression qu’exercent la publicité, la télévision, le cinéma et les nouveaux médias sur les adolescents pour qu’ils soient sexuellement attirants, et sexuellement actifs, est grande. De plus, les représentations médiatiques des relations donnent souvent des leçons malsaines.
Les médias traditionnels comme le cinéma, la presse écrite et la musique ont toujours un impact significatif sur l’image corporelle des jeunes. Des recherches ont montré que même les actualités peuvent favoriser les préjugés sur le poids dans leur façon de montrer des personnes plus corpulentes, à la fois dans les photographies et dans leur manière d’aborder le poids et la santé.
La violence dans les médias est un sujet d’actualité récurrent depuis presque aussi longtemps que les médias de masse existent. Les causes de cette violence changent tous les deux ou trois ans : la musique, les réseaux sociaux, les jeux vidéo, les émissions de télévision et les films.
Magazines, journaux et émissions sportives contribuent aussi à l'élaboration du concept de masculinité dans la société moderne.