L’atelier Mi-fille, mi-face
Mi-fille, mi-face examine de nombreux problèmes auxquels les adolescentes de la 7e à la 9e année peuvent être confrontées lorsqu'elles utilisent les médias numériques – notamment les réseaux sociaux.
Mi-fille, mi-face examine de nombreux problèmes auxquels les adolescentes de la 7e à la 9e année peuvent être confrontées lorsqu'elles utilisent les médias numériques – notamment les réseaux sociaux.
L’atelier Le réseau des parents vise à aider les parents à mieux comprendre la façon dont leurs enfants utilisent le réseautage social et à leur fournir des conseils et des outils pour les aider à minimiser les expériences négatives et à maximiser les occasions positives qu’offrent les médias sociaux.
L’atelier Te respecter et respecter les autres en ligne a été créé pour fournir aux préadolescents et aux jeunes adolescents des stratégies et des connaissances qui les aideront à se respecter, à respecter les autres et à respecter l’espace dans le cadre de leur utilisation des médias sociaux.
Le saviez-vous? Les deux tiers des élèves canadiens ont aidé quelqu’un qui était intimidé en ligne.
Lorsque tu vois ou entends des choses négatives en ligne, tu as le pouvoir de rendre les choses meilleures, ou pires. Parfois, il est difficile de savoir ce qu’est la bonne chose à faire alors pose-toi les questions suivantes.
HabiloMédias a demandé à des adolescentes et à des adolescents canadiens participant à un sommet sur les jeunes et le numérique ce qu’ils font pour rendre le monde en ligne meilleur pour tous et toutes. Voici ce qu’ils ont dit :
Est-ce que je laisse aller les choses parce que je m’inquiète d’empirer les choses pour la personne ciblée? Certaines des choses que nous faisons lorsque nous sommes témoins de cyberintimidation, même lorsque nous tentons d’aider, peuvent empirer la situation. Il est donc toujours une bonne idée de prendre du recul et de réfléchir à la situation avant d’intervenir.
Souvent, les enfants diront qu’il ne s’agit pas d’intimidation, mais seulement d’une plaisanterie. En réalité, il s’agit de la principale raison d’être méchant en ligne. À d’autres moments, les gens minimiseront la gravité de la situation.
En plus des images de désastres naturels et de violence, le reportage des crimes haineux, un sujet assez commun aux nouvelles, peut également être troublant pour les enfants. Le fait de voir ou d’entendre dans les médias les agressions motivées par la haine et le vandalisme des maisons, des cimetières et des lieux de culte, peut susciter de la peur ou de l’anxiété chez les jeunes, en particulier s’ils appartiennent à des groupes vulnérables. Dans plusieurs cas, l’effet sera pire parce que les jeunes canadiens ne sont pas témoins de racisme et de haine que dans les actualités : près de la moitié voit du contenu haineux en ligne au moins une fois par mois et un sur six en voit tous les jours.
Saviez-vous que près du quart des adultes ont déjà partagé une fausse nouvelle et que nous sommes moins portés à valider les nouvelles et d’autres informations qui nous sont communiquées par des gens que nous connaissons et à qui nous faisons confiance dans les médias sociaux (même s’il s’agit des principales sources d’information de bien des gens)?