L’atelier Mi-fille, mi-face
Mi-fille, mi-face examine de nombreux problèmes auxquels les adolescentes de la 7e à la 9e année peuvent être confrontées lorsqu'elles utilisent les médias numériques – notamment les réseaux sociaux.
Mi-fille, mi-face examine de nombreux problèmes auxquels les adolescentes de la 7e à la 9e année peuvent être confrontées lorsqu'elles utilisent les médias numériques – notamment les réseaux sociaux.
Les médias autochtones existent depuis longtemps au Canada. Alors que les premiers journaux destinés aux Autochtones étaient publiés par des colons, il existe des journaux dirigés par des Autochtones depuis que le chef, médecin et éditeur ojibwé a lancé The Indian à Hagersville, en Ontario, en 1885. Cette tradition s’est poursuivie grâce à la parution de journaux comme le Wawatay News, basés dans le nord de l’Ontario, et le Windspeaker à Edmonton[1].
« L’autoroute des larmes » (the « Highway of Tears »), comme on l’a surnommée, est une portion d’autoroute de 800 kilomètres en Colombie-Britannique où plus d’une douzaine de jeunes femmes ont disparu depuis 1994 ; là même où près de 20 jeunes femmes avaient disparu ou avaient été assassinées entre la fin des années 1960 et le début des années 1980. Jusqu’à tout récemment, cependant, ces crimes avaient été peu médiatisés, probablement parce que la majorité des victimes étaient des femmes autochtones.
Lorsqu’il est question de la représentation de divers groupes dans les médias, en particulier ceux que nous considérons comme marginalisés, les stéréotypes sont souvent au cœur des préoccupations. Mais l’élimination d’un stéréotype ne va peut-être pas assez loin, et la question peut être plus compliquée que de simplement déterminer si un personnage est représenté de manière positive ou négative. La section qui suit explore différentes approches du contenu s’adressant à la communauté 2SLGBTQINA+ en analysant diverses façons dont les médias populaires ont caractérisé les personnes 2SLGBTQINA+.
La télévision est l'un des médias ayant le plus d'influence dans la vie des enfants. Ils la regardent en moyenne près de 15 heures par semaine. (Statistique Canada, 2001.)
Les parents de jeunes enfants doivent contrôler l'écoute de la télé à la maison. Les enfants ont besoin d'une variété d'activités pour se développer. Gérée adéquatement, l'écoute de la télé peut être une composante amusante et éducative de leur routine quotidienne.
L'écoute de la télévision diminue généralement à l'adolescence alors que les jeunes commencent à passer plus de temps à socialiser, faire leurs travaux scolaires et à utiliser à d'autres médias comme la musique, les jeux vidéo, les ordinateurs et Internet.
La plupart d'entre nous gardons de bons souvenirs d'enfance de nos soirées passées à regarder la télévision en famille. Toutefois, ce qui n'était alors qu'un simple passe-temps est peu à peu devenu une préoccupation de la vie familiale moderne.
La Loi sur la radiodiffusion du Canada, modifiée pour la dernière fois en 1991, énonce les lignes directrices de l’industrie en matière de représentation de la diversité.
Ce programme de sensibilisation du public, créé dans le cadre d'un partenariat entre HabiloMédias et l'Initiative canadienne pour l'intégrité électorale Facebook, se concentre sur l'authentification des renseignements en ligne.