Le marketing de la violence auprès des jeunes
Nul ne sait mieux que l’industrie du marketing que les enfants et les jeunes représentent un énorme marché, autant par leur propre pouvoir d’achat que par l’influence qu’ils exercent sur les dépenses familiales.
Le marketing de la peur auprès des parents et des adultes
En tant qu'adultes concernés, nous devons également reconnaître quand nos peurs par rapport à la violence dans les médias sont utilisées pour nous vendre l'idéologie et une variété de produits associés à la censure générale.
Comment les jeunes intimident en ligne
En ligne, la violence verbale ou psychologique est la forme la plus fréquente d’intimidation. L’intimidation sociale, une autre forme répandue – particulièrement chez les filles – comprend l’exclusion sociale et la propagation de médisances et de rumeurs.
Que puis-je faire à propos du privilège ?
Tout d'abord, vous ne pouvez pas choisir de renoncer au privilège – le privilège est, par définition, un avantage immérité et vous ne pouvez pas choisir de vous en extraire. La culpabilité et la honte ne sont toutefois pas des manières productives d'aborder le privilège.
Influence des stéréotypes sur les jeunes
Des générations d’enfants nord-américains ont grandi en regardant des films de « cow-boys et d’Indiens » et en lisant Les Aventures de Tom Sawyer ou La Petite Maison dans la prairie. Ces films et romans populaires n’ont fait que renforcer l’idée que les autochtones appartenaient au passé, éternellement occupés à chasser le bison ou à se faire pourchasser par la cavalerie de l’armée américaine, et que le destin les avait placés pour toujours en marge de la « véritable » société. De telles impressions acquises dès le plus jeune âge sont difficiles à effacer: comme l’explique l’écrivain anishinaabe Jesse Wente, « en l’absence de représentations appropriées des peuples autochtones dans les médias, les fausses représentations deviennent la "vérité" acceptée[1] ».
Expression des autochtones dans les arts et médias
Le chef métis Louis Riel a prétendument prédit au XIXe siècle : « Mon peuple va s’endormir pour cent ans et ce seront ses artistes qui le réveilleront. » La plupart des groupes autochtones du Canada privilégiaient la tradition orale pour transmettre une idée, un message ou une valeur.