Cinéma - Aperçu
Les enfants ont toujours été fascinés par la magie du cinéma.
Les enfants ont toujours été fascinés par la magie du cinéma.
Cette section traite des préoccupations soulevées par les films que les enfants préfèrent. Elle offre aussi des conseils pour parler des contenus problématiques, tels la violence et les stéréotypes raciaux et sexuels, avec les enfants.
Bien que les adolescents peuvent sembler « avoir grandi », il faut encore aborder avec eux de nombreuses questions portant sur le contenu cinématographique. Même à l'adolescence, vous devez encore surveiller ce que vos jeunes regardent. Plusieurs films destinés aux jeunes ados d'environ 11 à 13 ans présentent un contenu peu approprié. Les systèmes de classement ne facilitent pas les choses puisque des films classés R (17 ans et +) au cinéma se retrouvent étiquetés 14A lorsqu'ils sortent en vidéos au Canada.
Internet a révolutionné la façon dont les jeunes regardent des films : la moitié des adolescents canadiens admettent télécharger des films sans les payer au moins une fois par semaine. [1]
Un jeune enfant peut visionner un film à plusieurs reprises avant d'en assimiler l'histoire et les nuances. Laissez votre enfant regarder son film préféré aussi souvent qu'il le désire, car il apprend quelque chose de nouveau chaque fois.
Dans cette leçon, les élèves exploreront les questions commerciales et éthiques entourant les reportages sur les crimes dans les journaux télévisés. Ils commenceront par discuter de leurs attitudes à l’égard de la criminalité, puis liront un document comparant les reportages sur les crimes au Canada et aux ÉtatsUnis et poursuivront la discussion sur la criminalité et le « commerce » des informations télévisées. Les élèves exploreront ensuite la façon dont les médias influencent nos perceptions de la criminalité en discutant du traitement qu’ils réservent aux différentes « vagues de crimes ».
Dans cette leçon, les élèves évalueront la précision avec laquelle leurs émissions, leurs films et leurs jeux vidéo préférés reflètent la diversité culturelle de la société canadienne.
L’un des obstacles à la lutte aux préjugés par les jeunes est la peur d’avoir l’air de trop réagir, surtout s’ils ont l’impression que l’autre personne ne faisait que « plaisanter ». Cependant, derrière l’humour se cachent souvent des actes d’intimidation et des préjugés. Dans ce cours, les participants analyseront les représentations médiatiques de l’agression relationnelle, comme le sarcasme et l’humour méprisant. Ils réfléchiront aussi à la manière dont la communication en ligne peut rendre difficile à cerner l’ironie ou la satire et faire en sorte qu’il est plus facile de blesser quelqu’un sans le savoir. Ensuite, les participants réfléchiront à comment l’humour peut servir d’excuse aux préjugés et discuteront des manières d’y réagir.