Lois, règles et moralité personnelle
Il est important de faire connaître aux jeunes les lois qui s’appliquent à ce qu’ils font en ligne, ainsi que d’établir des règles à la maison qui couvrent les comportements en ligne.
Il est important de faire connaître aux jeunes les lois qui s’appliquent à ce qu’ils font en ligne, ainsi que d’établir des règles à la maison qui couvrent les comportements en ligne.
Que veut-on dire par éthique et agir de façon éthique? Essentiellement, l’éthique est la façon dont nous déterminons qu’une action que nous réalisons, ou que quelqu’un d’autre réalise, est appropriée ou non. L’élément le plus fondamental de l’éthique est l’empathie, soit la capacité d’imaginer et de comprendre comment les autres se sentent. Nous commençons habituellement à apprendre l’empathie lorsque nous sommes petits, mais la suite de cet apprentissage, et sa pratique dépendent largement de ce qu’on nous enseigne.
Malgré toutes les préoccupations relatives aux jeunes et aux médias numériques, l’étude Jeunes Canadiens dans un monde branché de HabiloMédias a permis de conclure non seulement que la plupart des jeunes ne s’attirent pas des ennuis en ligne, mais qu’ils sont souvent gentils et attentionnés avec les gens qu’ils connaissent.
L’empathie est au cœur de l’éthique. Pour développer un sens du bien et du mal qui va plus loin que la peur de la punition ou l’espoir d’une récompense, nous devons pouvoir nous mettre à la place d’une autre personne.
Cette activité consiste à explorer les techniques employées par les stylistes et les photographes publicitaires pour rendre les aliments le plus appétissant possible dans les annonces.
Dans cette leçon, les élèves réfléchissent à l'importance des règles écrites et non écrites qui permettent d'apprendre et de jouer ensemble, en ligne et hors ligne.
Les médias en disent long sur ce qui est important dans une société. Ce que nous voyons dans les médias peut avoir un impact sur la façon dont nous percevons les autres groupes et nous percevons nous-mêmes.
La Loi sur la radiodiffusion du Canada, modifiée pour la dernière fois en 1991, énonce les lignes directrices de l’industrie en matière de représentation de la diversité.
Tout comme les reportages canadiens ne reflètent pas le multiculturalisme du Canada, la diversité raciale « en arrière-scène » des médias d’information est tout aussi disproportionnée. Près d’un quart de la population canadienne s’identifie comme un membre de ce que Statistique Canada appelle une « minorité visible » et, bien qu’une étude réalisée en 2021 ait révélé un taux de représentation similaire dans les salles de presse, 8 salles de presse sur 10 au Canada ne comptent aucun journaliste racialisé dans des rôles de direction.
Bien avant que le Canada ne devienne une confédération, les minorités visibles créaient déjà leurs propres médias : la première parution du Provincial Freeman, un journal hebdomadaire écrit et publié par les Afro-Canadiens de la province du Canada-Ouest (aujourd’hui l’Ontario), a été publiée le 24 mars 1854.