Empathie
L’empathie est au cœur de l’éthique. Pour développer un sens du bien et du mal qui va plus loin que la peur de la punition ou l’espoir d’une récompense, nous devons pouvoir nous mettre à la place d’une autre personne.
L’empathie est au cœur de l’éthique. Pour développer un sens du bien et du mal qui va plus loin que la peur de la punition ou l’espoir d’une récompense, nous devons pouvoir nous mettre à la place d’une autre personne.
Dans cette leçon, les élèves réfléchissent à l'importance des règles écrites et non écrites qui permettent d'apprendre et de jouer ensemble, en ligne et hors ligne.
Dans cette leçon, les élèves considèrent la mesure dans laquelle il peut parfois être difficile et compliqué de faire la bonne chose. On demande aux élèves de déterminer s’ils sont d’accord avec un certain nombre de principes moraux bien connus et ensuite de considérer un dilemme moral dans lequel de nombreux principes moraux sont en conflit, réfléchissant à la façon dont leur opinion peut changer selon les détails du scénario. Ils explorent ensuite l’idée de comparer différents principes moraux et d’élaborer leurs propres dilemmes moraux. Puis, les élèves apprennent des outils pratiques pour décider de la meilleure façon d’intervenir lorsqu’ils sont témoins de cyberintimidation et d’appliquer ces outils aux dilemmes moraux relatifs à la cyberintimidation.
Dans cette leçon, les élèves discutent des raisons qui pourraient les faire hésiter à intervenir lorsqu’ils sont témoins de cyberintimidation et trouvent des façons d’aider qui n’envenimeront pas la situation. Puis, à l’aide de scénarios et de l’outil interactif Agis! Comment avoir une influence positive quand tu es témoin de cyberintimidation, ils décident de ce qu’ils feraient s’ils étaient témoins d’intimidation et partagent leurs idées afin de comprendre l’importance de bien réfléchir avant d’agir.
Dans cette leçon, les élèves commencent par considérer un des cinq scénarios qui illustrent des relations malsaines avec les médias numériques : faire pression sur les autres pour qu’ils partagent du contenu privé, le harcèlement en ligne, le harcèlement et l’abus de confiance. Les élèves font ensuite le lien entre les scénarios et leurs propres expériences en donnant des exemples de ces comportements et en votant pour ceux qui s’appliquent le mieux à leur vie. L’enseignant mène ensuite une discussion dirigée sur les raisons pour lesquelles les comportements malsains pourraient être plus communs lorsque nous communiquons par les médias numériques et les façons dont ils peuvent être évités ou atténués. Les élèves font leur propre scénario dans lequel ils représentent des jeunes qui composent efficacement avec une des relations malsaines.
L’exposition au contenu à caractère sexuel constitue l’une des principales préoccupations des parents canadiens concernant l’expérience en ligne de leurs enfants, et aussi l’une des principales préoccupations des enfants eux-mêmes. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi : bien qu’il n’y ait plus de sites explicitement pornographiques sur les plateformes et les sites Web préférés des enfants et que les services qu’ils préfèrent, comme TikTok et Instagram, interdisent les contenus sexuellement explicites, près du tiers des enfants canadiens ont été exposés à du contenu pornographique en ligne sans en avoir cherché.
Nous savons que les jeunes accèdent à du contenu explicite en ligne. Nous en savons moins sur la façon dont cette exposition influence leurs attitudes et comportements. Si les enfants trouvent des renseignements exacts et appropriés à propos de la santé sexuelle ou de relations saines, alors il s’agit d’une chose positive, mais s’ils sont principalement exposés à la pornographie, alors ils pourraient plutôt recevoir des messages faussés sur les relations et les comportements sexuels.