L’attitude des jeunes à l’égard de la vie privée
Contrairement aux stéréotypes, les jeunes se soucient de leur vie privée.
Contrairement aux stéréotypes, les jeunes se soucient de leur vie privée.
Contrairement à l’opinion généralement reçue, la cyberintimidation demeure un problème au secondaire. Les élèves de ces années scolaires devraient apprendre les façons de s’exprimer et d’influencer le cours des choses que ce soit lors de cas individuels de cyberintimidation ou lorsqu’il s’agit de créer des espaces plus tolérants et respectueux en ligne.
Cette leçon permet aux élèves de se familiariser avec les différentes techniques utilisées par les applications et les sites Web commerciaux pour recueillir des renseignements personnels sur les enfants. La leçon permet également de comprendre les enjeux relatifs aux enfants et à la protection de la vie privée sur Internet. Les élèves commencent par se demander s’ils seraient à l’aise que des personnes puissent connaître diverses informations à leur sujet, puis visionnent une vidéo expliquant le fonctionnement de la publicité ciblée et en discutent. Ils explorent ensuite le concept de publicité ciblée par le biais d’un exercice en classe dans lequel le Prince charmant essaie de cibler Cendrillon avec une publicité pour des pantoufles de verre, puis analysent comment leurs propres informations personnelles pourraient être utilisées pour les cibler avec des publicités. Dans la deuxième partie de la leçon, les élèves sont initiés aux politiques de protection de la vie privée et à la manière dont elles sont évaluées par le site Web Terms of Service, Didn’t Read. Ils lisent et analysent l’évaluation que fait le site d’une application populaire, puis apprennent à limiter la collecte de données. Dans le cadre d’une activité complémentaire, les élèves découvrent le concept d’« interfaces truquées » et imaginent comment la méchante Reine pourrait les utiliser pour pousser Blanche-Neige à accepter des cookies « empoisonnés ».
Dans cette leçon, les élèves découvrent comment les applications qu’ils utilisent sont conçues pour les inciter à partager davantage d’informations, tant avec d’autres utilisateurs qu’avec les applications elles-mêmes. Ils découvrent ensuite le concept de conception persuasive ou d’« interfaces truquées » et étudient si ces dernières sont employées pour compliquer la désinscription à la collecte de données sur des applications populaires. Enfin, la classe élabore une « galerie des interfaces truquées » pour faciliter l’identification des interfaces truquées lorsqu’ils les rencontrent.
Internet est devenu le moyen de communication par excellence dans le monde entier, et cette envergure internationale sans précédent, combinée à la difficulté de localiser la provenance des communications, a fait d’Internet l’outil idéal pour permettre aux extrémistes de présenter de vieilles haines sous un jour nouveau, de lever des fonds et de recruter des membres. À mesure qu’Internet s’est développé et a évolué, les groupes et les mouvements motivés par la haine se sont adaptés à cette nouvelle réalité. Ils ont créé des sites Web, des forums et des profils dans les réseaux sociaux et ont exercé leurs activités notamment sur les sites de jeux en ligne et en allant jusqu’à créer des versions parallèles de plateformes comme Twitter, YouTube et GoFundMe.
Il existe deux principales stratégies pour lutter contre la propagande haineuse en ligne et les cultures de haine dans la salle de classe : enseigner aux jeunes à les reconnaître et les déconstruire, puis leur donner les moyens d’intervenir par la réplique.
L’internet permet aux jeunes de socialiser avec leurs amis et leur famille, de trouver des personnes avec qui ils partagent des intérêts communs, et des communautés pouvant leur fournir un soutien émotionnel.