Jeux de hasard : aperçu
Les jeunes Canadiens grandissent aujourd’hui dans une culture où le jeu de hasard est légal, facilement accessible – surtout en ligne – et généralement présenté comme un loisir inoffensif.
Les jeunes Canadiens grandissent aujourd’hui dans une culture où le jeu de hasard est légal, facilement accessible – surtout en ligne – et généralement présenté comme un loisir inoffensif.
La couverture médiatique des questions touchant les personnes handicapées
La recherche montre que seulement un tiers des parents abordent le problème des jeux de hasard avec leurs enfants, possiblement car de nombreux parents ne sont pas conscients que leurs enfants pratiquent cette activité. Cependant, il est important d’en parler : les recherches révèlent que les opinions des membres de la famille au sujet des jeux de hasard ont une grande influence sur la probabilité que les jeunes s’adonnent à de type de jeux en ligne.
Les médias en disent long sur ce qui est important dans une société. Ce que nous voyons dans les médias peut avoir un impact sur la façon dont nous percevons les autres groupes et nous percevons nous-mêmes.
Les groupes racialisés sont sous-représentés ou mal représentés dans les médias d’information, mais ils sont également dépeints de manière inexacte dans les médias de divertissement, qui ont tendance à renforcer les thèmes véhiculés dans les nouvelles. Bien que des changements positifs soient en train de se produire, il est important que le contenu des médias reflète de façon plus précise et plus juste la réalité du multiculturalisme canadien.
En tant que pédagogue oeuvrant pour l'éducation aux médias, je ne peux que me réjouir du fait que l'Ontario ait décidé d'inclure à son cursus scolaire des leçons sur la sécurité sur Internet.
Au hasard du Net, je suis récemment tombée sur une série d'articles commentant la libération de l'otage franco-colombienne Ingrid Bétancourt, détenue par les Farc depuis six ans. Cette libération a embrasé la France à la manière des événements du 11 septembre : une immense émotion collective –mais qui dans le cas présent était positive. Or plusieurs articles s'interrogeaient sur le traitement médiatique de cette libération en des termes pour le moins inattendus : l'un d'entre eux allait jusqu'à arguer que si cette libération a provoqué un tel engouement public, c'est parce que l'otage était une jeune femme (comptez cela comme un premier argument), « sans défense », « frêle et menue », mais néanmoins « glamour ». La question qui vient alors à l'esprit est la suivante : est-ce réellement les médias qu'on déconstruit, ici ? N'est-ce pas plutôt la réalité qu'on reconstruit pour nous, par la lorgnette étroite des stéréotypes sexuels et sexistes ?
Ces deux dernières années nous ont gâté/e/s en matière de femmes politiques : aux États-Unis, Hillary Clinton et Sarah Palin (au premier plan sur la photo, si si…) étaient en lice pour les plus hautes fonctions de l'état ; Ségolène Royal faisait de même en France ; plus proche de nous, Pauline Marois devenait, le 26 juin 2007, la première Québécoise élue au poste de chef d'un parti politique.
Voici un test facile ; lorsque vous regardez un film, amusez-vous à vous poser les questions
La télé-réalité est un enfant du siècle : c'est le 30