Jeux de hasard : aperçu
Les jeunes Canadiens grandissent aujourd’hui dans une culture où le jeu de hasard est légal, facilement accessible – surtout en ligne – et généralement présenté comme un loisir inoffensif.
Les jeunes Canadiens grandissent aujourd’hui dans une culture où le jeu de hasard est légal, facilement accessible – surtout en ligne – et généralement présenté comme un loisir inoffensif.
Les personnes 2SLGBTQINA+ participent à la production de leurs propres médias depuis que les médias alternatifs existent, mais depuis l’avènement de l’ère électronique et des appareils électroniques moins chers et plus accessibles pour la production, il y a eu une explosion de médias de toutes les sortes produits par des membres de la communauté 2SLGBTQINA+. La section suivante explore les façons dont les personnes 2SLGBTQINA+ ont cherché à revendiquer un espace pour elles-mêmes dans les médias et la culture.
La recherche montre que seulement un tiers des parents abordent le problème des jeux de hasard avec leurs enfants, possiblement car de nombreux parents ne sont pas conscients que leurs enfants pratiquent cette activité. Cependant, il est important d’en parler : les recherches révèlent que les opinions des membres de la famille au sujet des jeux de hasard ont une grande influence sur la probabilité que les jeunes s’adonnent à de type de jeux en ligne.
La Journée sans achats, c'est le 27 novembre ! Lancée à l'initiative de la Media Fondation à Vancouver, la Journée sans achats est maintenant suivie dans le monde entier. Le mot d'ordre de la journée est de ne rien acheter et d'utiliser le temps ainsi libéré pour réfléchir à nos habitudes de consommation.
Il existe une inquiétude grandissante à propos de la retouche d'images. En octobre dernier, la photo altérée de Filippa Hamilton dans une publicité de Ralph Laurencréait un petit scandale médiatique, et relançait la polémique à propos de l'incitation à l'anorexie provoquée par de telles photos. Cet incident arrivait au même moment que la proposition de loi française de la députée UMP Valérie Boyer relative à la signalisation des images retouchées : « Les photographies publicitaires de personnes dont l'apparence corporelle a été modifiée par un logiciel de traitement d'image doivent être accompagnées de la mention : “Photographie retouchée afin de modifier l'apparence corporelle d'une personne”. »
Malgré son grand âge, le Père Noël sait rester tendance. Cette année encore, sous le sapin, il y aura immanquablement de beaux gadgets technologiques, et bien sûr un ou deux jeux vidéo –une industrie qui se rit de la crise économique : au Canada, elle a réalisé une hausse des ventes de 36 pour cent entre 2007 et 2008.
Noël approche, c'est donc l'époque de l'année où beaucoup s'apprêtent à célébrer le Dieu de la consommation.
Quelqu’un m’a récemment envoyé une chronique, parue en décembre dernier dans le Globe and Mail, sur les méfaits de la pub destinée aux enfants. « Mais on n’a pas le droit de faire de la pub directement aux enfants au Canada! » lui ai-je répondu.
Les écoles sont censées être des lieux publics mais les publicitaires s’en servent de plus en plus pour cibler les jeunes. Les compagnies savent combien de temps les jeunes passent à l’école, en salle de classe, dans les activités parascolaires, ou simplement avec leurs amis, et ils ne veulent pas rater l’occasion de les atteindre dans ces endroits. Un milieu scolaire fournit un public de jeunes captifs et donne l’impression qu’il existe une approbation de la part des enseignants et du système scolaire.
En raison de leur énorme pouvoir d'achat et de l'influence qu'ils exerceront une fois adultes sur la consommation, les jeunes d'aujourd'hui sont une des générations les plus sollicitées par la publicité. En discutant de cette dernière, en leur parlant de la manière dont elle fonctionne et des multiples façons dont elle les cible, nous pouvons aider les jeunes à devenir des consommateurs avertis, mieux aptes à résister à la pression et aux modes.