À l’aide! Quelqu’un a partagé une photo de moi sans mon consentement! – Fiche-conseil
Ne panique pas! Tu peux prendre plusieurs mesures pour corriger la situation.
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L’atelier pour parents Élever des enfants résilients face au numérique explique comment les parents et tuteurs peuvent soutenir le bien-être des enfants et les aider à trouver un équilibre entre les risques et les bénéfices des médias numériques. S’appuyant sur les résultats des recherches de HabiloMédias auprès des jeunes, l’atelier propose un aperçu des différentes catégories de risques en ligne et offre des ressources ainsi que des stratégies clés que les participants pourront mettre en œuvre pour gérer ces risques.
Exploitation : Certaines personnes utilisent les médias numériques pour entraîner des adolescents dans des relations pour lesquelles ils ne sont pas prêts. Pour ce faire, ces abuseurs trouvent une personne vulnérable et la couvrent d’attention, de sympathie, d’affection et de gentillesse dans le but de la persuader qu’ils l’aiment et la comprennent.
Lorsque quelqu’un utilise les médias numériques pour trouver des adolescents et les entraîner dans des relations amoureuses ou sexuelles, c’est ce que l’on appelle l’exploitation en ligne.
Les Autochtones continuent de faire l’objet de stéréotypes tenaces dans la plupart des médias de masse, d’une manière parfois moins manifeste que les stéréotypes touchant d’autres groupes. Cette section examine comment les Autochtones sont représentés et participent à divers médias et comment l’éducation aux médias peut aider les jeunes autochtones et non autochtones à comprendre l’impact des représentations stéréotypées.
Depuis plus de 100 ans, les médias façonnent la perception du public à l’égard des peuples autochtones. Du vieux sage (Little Big Man) à l’ivrogne (Tom Sawyer), du fidèle sous-fifre (Le pacte des loups, The Lone Ranger) à la princesse indienne (Pocahontas). Autant d’images qui se sont imprimées de manière indélébile dans la conscience des Nord-Américains.
Les médias autochtones existent depuis longtemps au Canada. Alors que les premiers journaux destinés aux Autochtones étaient publiés par des colons, il existe des journaux dirigés par des Autochtones depuis que le chef, médecin et éditeur ojibwé a lancé The Indian à Hagersville, en Ontario, en 1885. Cette tradition s’est poursuivie grâce à la parution de journaux comme le Wawatay News, basés dans le nord de l’Ontario, et le Windspeaker à Edmonton[1].
L’éducation aux médias peut aider les jeunes à mettre en perspective l’image qui leur est donnée des communautés autochtones en leur faisant à comprendre le fonctionnement des médias, les raisons de l’existence des stéréotypes, les pouvoirs décisionnels et l’importance de savoir qui décide du contenu d’une émission ou d’un journal.
Le chef métis Louis Riel a prétendument prédit au XIXe siècle : « Mon peuple va s’endormir pour cent ans et ce seront ses artistes qui le réveilleront. » La plupart des groupes autochtones du Canada privilégiaient la tradition orale pour transmettre une idée, un message ou une valeur.