FAUX que ça cesse - conseil #1 : Utiliser des outils de vérification des faits
Parfois, une simple recherche peut révéler la vérité si un vérificateur de faits professionnel a déjà fait le travail pour vous.
Parfois, une simple recherche peut révéler la vérité si un vérificateur de faits professionnel a déjà fait le travail pour vous.
Tu as vu une fausse info?
Que cette info soit un malentendu ou une exagération ou même un mensonge, la manière de répondre fait toute la différence.
Fais partie de la solution. Dis quelque chose!
Puisqu’il est très facile de copier et partager des informations en ligne, il est important de trouver la source de cette information pour savoir si vous pouvez lui faire confiance. Quelqu’un vous l’a peut-être partagée sur les réseaux sociaux, ou elle peut être basée sur une actualité racontée par quelqu’un d’autre.
Que vous regardiez un site Web, une photo, une vidéo ou une actualité, l’important est de savoir si les personnes qui l’ont créé ou rapporté en premier sont fiables. Même si quelqu’un en qui vous avez confiance, comme un ami ou un membre de votre famille, vous a donné cette information, vous ne pouvez pas savoir s’ils l’ont vérifiée, alors c’est à vous de le faire!
Cette étape est souvent la dernière, mais elle pourrait également être la première. Pour cette étape, l’onglet « actualités » est meilleur que la recherche principale sur Google car il ne présente que des sources d’informations réelles. Même si toutes les sources ne sont pas parfaitement fiables, ce sont toutes des sources d’actualités qui existent réellement.
La moitié des jeunes Canadiens âgés de 16 à 20 ans ont déjà reçu un message à contenu sexuel (photographie de nudité complète ou partielle ou « sexy ») sans l’avoir sollicité. Quel que soit le nom qu’on donne à la chose – sextos, photos de nu, selfie nu ou simplement photos... Ce n’est pas nécessairement une chose souhaitée. Et même si tu as demandé de recevoir une telle image, tu dois faire de bons choix pour protéger la vie privée de son expéditeur. De plus, il n’y a aucune excuse justifiant le fait de relayer ou de partager un message à contenu sexuel qu’on t’a envoyé.
La façon dont les témoins réagissent peut faire une GRANDE différence pour mettre fin à la cyberintimidation et rendre la situation moins douloureuse.
La façon dont les témoins réagissent peut faire une GRANDE différence pour mettre fin à la cyberintimidation et rendre la situation moins douloureuse.
Pour de nombreuses raisons, il peut être difficile de s’exprimer lorsque survient un cas de cyberintimidation, mais ce que tu dis et fais est très important.