
Nouveaux conseils et nouvelles ressources pour les parents sur le temps d’écran
Les jeunes aujourd’hui passent plus de temps devant les écrans, dès un plus jeune âge, et à partir d’une plus grande variété d’appareils que jamais auparavant, ce qui mène un plus grand nombre de parents à chercher de l’aide pour savoir comment reprendre le contrôle du temps que leurs enfants passent devant un écran.

Réagissez! Comment intervenir en matière de questions médiatiques
Le guide RÉAGISSEZ! Comment intervenir en matière de questions médiatiques vous fournit les outils entamer la discussion avec les sociétés médiatiques.

La peur et les médias
- Des recherches ont révélé que les enfants sont plus susceptibles d’être effrayés lorsque :
- Des personnages ont une apparence étrange ou menaçante, ou agissent de manière menaçante;
- Des personnages auxquels ils s’identifient sont menacés et se trouvent dans une situation d’impuissance
- Les parents ou tuteurs du personnages meurent ou disparaissent;
- Des situations réelles dangereuses ou effrayantes sont représentées, qu’ils aient ou non vécu ces situations eux-mêmes;
- Le danger s’introduit dans des espaces sûrs, comme une poupée

Inoffensifs les dessins animés ?
En tant que parent, nous sommes bien souvent préoccupés par les contenus médiatiques que consomment nos enfants. Car bien sûr, en plus d’être distrayants, nous aimerions bien que ceux-ci ne soient pas trop violents. Et qu’au mieux, ils véhiculent des valeurs socialement acceptables à nos chers petits.

Discuter du contenu haineux dans les médias avec vos enfants - Fiche-conseil
En plus des images de désastres naturels et de violence, le reportage des crimes haineux, un sujet assez commun aux nouvelles, peut également être troublant pour les enfants. Le fait de voir ou d’entendre dans les médias les agressions motivées par la haine et le vandalisme des maisons, des cimetières et des lieux de culte, peut susciter de la peur ou de l’anxiété chez les jeunes, en particulier s’ils appartiennent à des groupes vulnérables. Dans plusieurs cas, l’effet sera pire parce que les jeunes canadiens ne sont pas témoins de racisme et de haine que dans les actualités : près de la moitié voit du contenu haineux en ligne au moins une fois par mois et un sur six en voit tous les jours.