
Parler de la violence dans les médias avec les enfants
Parler avec les enfants de la violence dans les médias qu'ils consomment – soit la télévision, les films, les jeux vidéo, la musique et Internet – peut les aider à mettre la violence dans les médias en perspective et peut-être à en réduire l’impact. Voici des façons de lancer la discussion pour aider les enfants à développer la pensée critique nécessaire à la compréhension et au questionnement sur l'usage de la violence dans les médias.

Discuter avec les jeunes du sexisme dans les médias
L'image que les médias nous donnent des hommes et des femmes se base souvent sur les stéréotypes présents dans la société. Les enfants peuvent en être affectés aussi bien dans l'idée qu'ils se font d'eux-mêmes que dans leurs relations avec les autres. Il est donc important de leur apprendre à reconnaître les stéréotypes sexistes dans les différents médias.

Parlons des stéréotypes raciaux aux enfants
Les stéréotypes raciaux sont présents partout à la télévision et les émissions destinées à la jeunesse ne font pas exception. Le criminel au turban, l'Asiatique futé et le joueur de basket-ball noir magicien du ballon ne sont que quelques-uns des stéréotypes dont sont souvent truffés les dessins animés, les films et les téléromans. Repérer ces stéréotypes est souvent difficile pour les enfants ; pour eux, l'Amérindien brandissant son tomahawk ou l'Asiatique expert en karaté est un personnage familier et souvent fort amusant.

Semaine sans écran
La Semaine sans écran est un événement annuel qui se tient traditionnellement en printemp. Chaque année, des gens à travers le monde décident, de façon consciente, d’éteindre tout type d’écran pendant une semaine.

Être parent de princesses
Si vous n’avez pas vu l’histoire de la « princesse hot dog » qui circule sur Internet, je vous suggère de lire cet article de BuzzFeed. Lors de la « semaine des princesses » du cours de danse d’Ainsley, 5 ans, elle a décidé de porter un costume de hot dog. En tant que parent, c’est le genre d’impertinence juvénile que j’appuie. Après tout, il s’agissait d’une princesse qui savait vraiment qui elle était, une princesse pas comme les autres princesses, une « princesse hot dog » (#hotdogprincess).