
Les fêtes en co-visionnement : Gérer les classiques problématiques
Plusieurs familles ont des traditions médias pendant les fêtes – que ce soit le visionnement du Petit renne au nez rouge ou un tournoi Mario Kart pour le Jour de l’an. C’est une belle occasion de faire des activités médias en famille et de faire du co-visionnement avec les enfants. D’ailleurs, ces films nécessitent quasiment le co-visionnement : que ce soit La vie est belle, Nez Rouge ou Piège de Crystal (Die Hard), les chances sont que si vous visionnez quelque chose d’approprié pour l’âge de vos enfants, vous verrez un éventuellement un portrait inconfortable. Serait-ce une représentation stéréotypée dans un dessin animé, une scène qui romantise un traqueur ou encore un autre film pour enfant avec un seul personnage féminin. Quoi dire? La bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas du neuf pour les enfants.

Parler de la violence dans les médias avec les enfants
Parler avec les enfants de la violence dans les médias qu'ils consomment – soit la télévision, les films, les jeux vidéo, la musique et Internet – peut les aider à mettre la violence dans les médias en perspective et peut-être à en réduire l’impact. Voici des façons de lancer la discussion pour aider les enfants à développer la pensée critique nécessaire à la compréhension et au questionnement sur l'usage de la violence dans les médias.

Être parent de princesses
Si vous n’avez pas vu l’histoire de la « princesse hot dog » qui circule sur Internet, je vous suggère de lire cet article de BuzzFeed. Lors de la « semaine des princesses » du cours de danse d’Ainsley, 5 ans, elle a décidé de porter un costume de hot dog. En tant que parent, c’est le genre d’impertinence juvénile que j’appuie. Après tout, il s’agissait d’une princesse qui savait vraiment qui elle était, une princesse pas comme les autres princesses, une « princesse hot dog » (#hotdogprincess).

Discuter du contenu haineux dans les médias avec vos enfants - Fiche-conseil
En plus des images de désastres naturels et de violence, le reportage des crimes haineux, un sujet assez commun aux nouvelles, peut également être troublant pour les enfants. Le fait de voir ou d’entendre dans les médias les agressions motivées par la haine et le vandalisme des maisons, des cimetières et des lieux de culte, peut susciter de la peur ou de l’anxiété chez les jeunes, en particulier s’ils appartiennent à des groupes vulnérables. Dans plusieurs cas, l’effet sera pire parce que les jeunes canadiens ne sont pas témoins de racisme et de haine que dans les actualités : près de la moitié voit du contenu haineux en ligne au moins une fois par mois et un sur six en voit tous les jours.
