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Le battage médiatique qui accompagne les événements tragiques, comme les guerres, les actes de terrorisme et les catastrophes naturelles, peut profondément affecter les enfants et les adolescents. Certains d’entre eux y sont particulièrement sensibles et peuvent éprouver de l’angoisse simplement en voyant et revoyant les images à la télévision.
Enregistrez vos émissions préférées afin de pouvoir les regarder plus tard :
En les enregistrant d’avance, vous pourrez choisir quand c’est le temps de regarder la télévision sans que cela n’interfère d’autres activités. En enregistrant les émissions de télé, vous diminuez la tentation de faire du zapping il devient plus facile de tenir compte du temps passé devant la télé.
Accompagner vos enfants dans leur visionnement est l’une des mesures les plus importantes que vous pouvez prendre pour familiariser vos enfants avec les médias, ce qui comprend écouter de la musique, regarder la télévision, des films et des vidéos ensemble, et jouer à des jeux qu’ils aiment. Bien que d’être simplement avec eux soit une étape importante, il s’agit également d’une belle occasion d’aider vos enfants à exercer leur pensée critique face aux médias qu’ils consomment en leur posant des questions sur le sujet et en y donnant suite.
Pour le meilleur ou pour le pire, les médias et les technologies de communications jouent un rôle important dans la l’éducation de la santé physique et mentale chez les élèves. Le nouveau programme d’Éducation physique et santé de l’Ontario établit un point de départ pour aborder des discussions sur la santé et la littératie médiatique.
Pour le meilleur ou pour le pire, les médias et les technologies de communications jouent un rôle important dans la l’éducation de la santé physique et mentale chez les élèves. Le nouveau programme d’Éducation physique et santé de l’Ontario établit un point de départ pour aborder des discussions sur la santé et la littératie médiatique.
Qu’il s’agisse de Darth Vador, des Daleks dans « Doctor Who » ou des singes volants dans « Le Magicien d’Oz », la plupart d’entre nous se souviennent avoir vu quelque chose à l’écran que nous ne pouvions regarder que derrière un divan ou caché sous le manteau d’un de nos parents. En fait, 90 % des adultes indiquent garder un souvenir indestructible d’un traumatisme, pendant leur enfance, causé par quelque chose qu’ils avaient vu à la télévision ou dans un film. Ce que nous ne nous rappelons peut-être pas, cependant, c’est à quel point ces images et ces moments effrayants peuvent avoir des répercussions graves et persistantes. Comme nous guidons nos enfants à travers leur expérience avec les médias, il est important de comprendre que ce qu’ils voient peut entraîner des problèmes, comme des cauchemars saisissants, la peur de l’obscurité, des difficultés à dormir et un refus de dormir seul.
La plupart des enfants aiment les jeux de rôle et adorent imiter les superhéros qu’ils voient à la télé. Cependant, plusieurs professeurs et animateurs en garderie ont dénoncé les effets néfastes sur les enfants des émissions de superhéros à la télévision. Ce genre de séries aux scènes de violence à répétition excitent les enfants et créent souvent des batailles d’enfants que le professeur ou l’animateur a beaucoup de mal à contrôler.
Écouter la télé devrait être amusant et relaxant pour les enfants et les adultes. Trop souvent, toutefois, c’est une source de conflits familiaux.
La semaine sans écran (http://www.screenfree.org/) est un événement annuel qui se tient traditionnellement en avril. Chaque année, des gens de partout dans le monde prennent la décision consciente d’éteindre tous les types d’écrans pendant la semaine.
En plus des images de désastres naturels et de violence, le reportage des crimes haineux, un sujet assez commun aux nouvelles, peut également être troublant pour les enfants. Le fait de voir ou d’entendre dans les médias les agressions motivées par la haine et le vandalisme des maisons, des cimetières et des lieux de culte, peut susciter de la peur ou de l’anxiété chez les jeunes, en particulier s’ils appartiennent à des groupes vulnérables. Dans plusieurs cas, l’effet sera pire parce que les jeunes canadiens ne sont pas témoins de racisme et de haine que dans les actualités : près de la moitié voit du contenu haineux en ligne au moins une fois par mois et un sur six en voit tous les jours.