

Faire face à la haine sur Internet
Le tutoriel Faire face à la haine sur Internet explore comment Internet est utilisé pour propager et encourager la haine, et comment les parents, les dirigeants communautaires et les éducateurs peuvent y répondre. La première partie donne un aperçu de la haine et des préjugés en ligne et de la manière dont ils peuvent radicaliser les jeunes et avoir un impact négatif sur les communautés en ligne et hors ligne. La deuxième partie explique comment les enseignants et les parents peuvent préparer les jeunes à reconnaître la haine en ligne, à y réagir et à la dénoncer lorsqu’ils en sont témoins.

Se faire entendre : une trousse médias pour les jeunes
Se faire entendre : une trousse médias pour les jeunes a été élaborée pour aider les jeunes à comprendre le fonctionnement de l'industrie de l'information, le rôle des stéréotypes et les différentes façons d'accéder à ces médias afin de faire valoir leurs opinions et préoccupations.

Inoffensifs les dessins animés ?
En tant que parent, nous sommes bien souvent préoccupés par les contenus médiatiques que consomment nos enfants. Car bien sûr, en plus d’être distrayants, nous aimerions bien que ceux-ci ne soient pas trop violents. Et qu’au mieux, ils véhiculent des valeurs socialement acceptables à nos chers petits.

Parler de la violence dans les médias avec les enfants
Parler avec les enfants de la violence dans les médias qu'ils consomment – soit la télévision, les films, les jeux vidéo, la musique et Internet – peut les aider à mettre la violence dans les médias en perspective et peut-être à en réduire l’impact. Voici des façons de lancer la discussion pour aider les enfants à développer la pensée critique nécessaire à la compréhension et au questionnement sur l'usage de la violence dans les médias.

Pourquoi la violence est-elle si présente dans les médias ?
Les représentations de la violence ne sont pas nouvelles. En fait, la violence est un élément clé des médias depuis la naissance de la littérature : la poésie et le théâtre grec antique représentaient souvent des meurtres, des suicides et des actes d’automutilation ; de nombreuses pièces de Shakespeare exposent violence, torture, mutilation, viol, vengeance et terreur psychologique ; certains des livres les plus populaires du XIXe siècle étaient des romans à sensation qui ne manquaient pas d’être sanglants et horrifiants.

Le marketing de la violence (et la crainte de violence)
Nul ne sait mieux que l’industrie du marketing que les enfants et les jeunes représentent un énorme marché, autant par leur propre pouvoir d’achat que par l’influence qu’ils exercent sur les dépenses familiales.