Écrans et adolescents, trouver un juste milieu entre l’interdiction et la consommation saine : la version moderne du Saint-Graäl
Qu’on se le dise!
Être parent aujourd’hui, c’est loin d’être toujours simple! Il suffit en effet de penser à toutes ces injonctions qui nous sont faites constamment, parmi lesquelles nous nous retrouvons désormais à devoir légiférer en plus sur la consommation des écrans par nos chers ados!
L’estime de soi à l’époque des avatars
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.
La journée mondiale sans cellulaire, à go on débranche
Parfois je me dis que le monde a bien changé depuis mon adolescence. Lorsque je regarde mon ado, aujourd’hui âgé de 13 ans, perpétuellement connecté à son téléphone, comme si celui-ci lui était greffé à la main, il m’arrive d’avoir l’impression que mille ans nous séparent (minimum comme dirait l’autre!)
Décrocher à l’heure de l’hyper connexion
Je ne sais pas pour vous mais l’un des grands défis auquel la dernière année – covidesque – aura confronté ma famille, comme la vôtre probablement, c’est incontestablement celui de couper les liens avec tout ce monde numérique. Un monde qui a littéralement envahi toutes les sphères de nos vies avec la force d’un tsunami.