Préoccupations relatives à la représentation des personnes handicapées dans les médias
La couverture médiatique des questions touchant les personnes handicapées
La représentation des personnes handicapées dans les médias : Solutions
Les producteurs de médias reconnaissent devoir faire des efforts pour mieux représenter les personnes handicapées.
La représentation des personnes handicapées dans les médias : Introduction
Les personnes handicapées pourraient être décrites comme une minorité invisible, à tout le moins dans les médias : bien qu’une partie notable de la population souffre d’une incapacité physique ou mentale, ces personnes étaient jusqu’à tout récemment presque totalement absentes des médias de masse. De plus, lorsque les personnes handicapées sont finalement représentées, elles le sont généralement de façon stéréotypée.
Représentations courantes des personnes handicapées
Les stéréotypes se fondent en partie sur l’idée reçue que les membres d’un groupe distinct se ressemblent tous ou peuvent être classés dans un nombre restreint de catégories. Ceci est d’autant plus vrai pour les quelques cas de personnes handicapées représentées dans les médias.
Exploitation sexuelle - Aperçu
L’internet permet aux jeunes de socialiser avec leurs amis et leur famille, de trouver des personnes avec qui ils partagent des intérêts communs, et des communautés pouvant leur fournir un soutien émotionnel.
Cyberprédateurs
La nature de l’exploitation sexuelle en ligne est largement méconnue : « Contrairement aux pédophiles (c’est-à-dire des individus ayant des intérêts sexuels pour les enfants) qui s’en prennent à de jeunes enfants, la plupart des crimes sexuels initiés sur Internet impliquent de jeunes adultes (principalement des hommes) qui ciblent et séduisent des adolescents pour les pousser à des rencontres sexuelles. » De même, le matériel d’exploitation sexuelle des enfants est le plus souvent produit par des membres de la famille des victimes, les pères étant les auteurs les plus fréquents. Même dans les cas de sextorsion, 60 % des jeunes qui en sont victimes connaissent les auteurs dans la vie réelle