Le journaliste citoyen
Cette leçon commence par la présentation d’une brève histoire du journalisme citoyen suivie d’une discussion de ce que signifie ce concept.
Cette leçon commence par la présentation d’une brève histoire du journalisme citoyen suivie d’une discussion de ce que signifie ce concept.
Le tutoriel Faire face à la haine sur Internet explore comment Internet est utilisé pour propager et encourager la haine, et comment les parents, les dirigeants communautaires et les éducateurs peuvent y répondre. La première partie donne un aperçu de la haine et des préjugés en ligne et de la manière dont ils peuvent radicaliser les jeunes et avoir un impact négatif sur les communautés en ligne et hors ligne. La deuxième partie explique comment les enseignants et les parents peuvent préparer les jeunes à reconnaître la haine en ligne, à y réagir et à la dénoncer lorsqu’ils en sont témoins.
Le tutoriel Pour connaître et se reconnaître, fondé sur les concepts clés de l’éducation aux médias, nous permet d’examiner la représentation de la diversité ethnique dans les nouveaux médias et les médias du divertissement et l’impact de cet état de fait sur la valorisation de ces individus et de ces groupes, au sein de notre société. Nous étudions ensuite les progrès qui s’opèrent au sein de l’industrie des médias dans le but de mieux refléter nos valeurs canadiennes et d’offrir des stratégies gagnantes, pour contrer ces représentations négatives et encourager nos jeunes à exiger une représentation médiatique plus réaliste et positive.
Dans cette leçon, les élèves exploreront la signification des termes « biais culturel » et « préjugé » et évalueront comment certains mots peuvent refléter un biais culturel en raison de leur connotation. En analysant pourquoi il est particulièrement important d’examiner les nouvelles pour détecter la présence possible de biais culturels, les élèves seront initiés au concept clé de l’éducation aux médias selon lequel les médias véhiculent des messages idéologiques et ont une influence sociale et politique.
La frontière est souvent mince entre liberté d’expression et propos haineux. D’ailleurs, la définition de ce qui est acceptable ou non d’exprimer et de diffuser varie d’un pays, d’une plateforme et d’une communauté à l’autre. Sur Internet, la ligne est encore plus mince, et un commentaire haineux affiché légalement dans un pays peut être considéré illégal dans des pays où les critères sont plus rigoureux.
La réponse conventionnelle du gouvernement face à la propagande haineuse sur Internet a été de contrôler le cyberespace comme un prolongement du territoire de l’État, en ignorant la ligne de démarcation entre l’espace « en ligne » et « hors ligne ».
Dès son avènement, Internet a été salué comme un marché exceptionnellement libre d’idées pour devenir ensuite un moyen essentiel d’accéder à de l’information et à des services. Toutefois, en marge de ses nombreuses ressources précieuses, Internet offre également son lot de contenus offensants, dont des contenus haineux, qui tentent d’attiser l’opinion publique contre certains groupes et de dresser les gens les uns contre les autres.
Internet est devenu le moyen de communication par excellence dans le monde entier, et cette envergure internationale sans précédent, combinée à la difficulté de localiser la provenance des communications, a fait d’Internet l’outil idéal pour permettre aux extrémistes de présenter de vieilles haines sous un jour nouveau, de lever des fonds et de recruter des membres. À mesure qu’Internet s’est développé et a évolué, les groupes et les mouvements motivés par la haine se sont adaptés à cette nouvelle réalité. Ils ont créé des sites Web, des forums et des profils dans les réseaux sociaux et ont exercé leurs activités notamment sur les sites de jeux en ligne et en allant jusqu’à créer des versions parallèles de plateformes comme Twitter, YouTube et GoFundMe.
Il existe deux principales stratégies pour lutter contre la propagande haineuse en ligne et les cultures de haine dans la salle de classe : enseigner aux jeunes à les reconnaître et les déconstruire, puis leur donner les moyens d’intervenir par la réplique.