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Tous les mondes virtuels ont ceci en commun : on y trouve un avatar ou un personnage représentant le joueur qui évolue dans cet univers.
Tous les mondes virtuels ont ceci en commun : on y trouve un avatar ou un personnage représentant le joueur qui évolue dans cet univers.
Bien qu’elles ne soient pas le seul facteur, les représentations médiatiques du poids et de la forme du corps sont un élément majeur dans les problèmes d’image corporelle. Les médias de tous les genres encouragent fréquemment la stigmatisation du poids, présentant le plus souvent le poids comme étant une responsabilité individuelle[1].
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.
Le nouveau programme d’Éducation physique et santé de l’Ontario a été publié cette année par le ministère de l'Éducation de l'Ontario et c’est la première révision majeure de ce sujet en près de 30 ans.
Pendant les fêtes, je me suis retrouvée à discuter avec des amies, elles aussi mamans, des comportements de nos enfants qui dès leur plus jeune âge, sont déjà concernés par leur image.
La croyance populaire voulant que « minceur soit synonyme de beauté » est profondément ancrée dans notre société.