Tableau de résultats d'apprentissage - Ontario - Comprendre le droit canadien 11e CLU3M
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Depuis plus d’une décennie, HabiloMédias est un chef de file de la littératie numérique au Canada. C’est ce que reflète le cadre élémentaire de littératie numérique que nous avons lancé en 2015. Le cadre Utiliser, comprendre et créer se fonde sur une approche holistique qui reconnaît que les différentes compétences qui composent la littératie numérique ne peuvent pas être entièrement séparées. Le cadre recense six aspects de la littératie numérique qui se chevauchent : éthique et empathie, vie privée et sécurité, trouver et vérifier, santé numérique, sensibilisation des consommateurs, et mobilisation communautaire.
Ce billet de blogue a été rédigé par Samantha McAleese et trois jeunes participants - Sahil, Erin et Kate (on fait usage des pseudonymes pour assurer l'anonymat).
Réflexions sur la conduite de recherches qualitatives en temps de pandémie
À quoi pensez-vous lorsque vous entendez le mot algorithme? Êtes-vous capable d’expliquer la manière dont fonctionne l’apprentissage automatique? Êtes-vous préoccupé par les questions de confidentialité et de collecte de données dues au recours accru à l’intelligence artificielle? Ce ne sont là que quelques-unes des questions que nous avons posées aux jeunes dans le cadre de notre récent projet de recherche qualitative : Averti aux algorithmes : Les jeunes Canadiens discutent l’intelligence artificielle et la confidentialité.
Des études ont démontré que de communiquer un consensus scientifique sur un sujet donné peut constituer une stratégie utile dans la lutte contre la désinformation. Par exemple, une étude menée en 2015 révèle qu’un message favorable à la vaccination est plus susceptible d’être efficace s’il met l’accent sur le consensus médical concernant la sécurité des vaccins administrés aux enfants.
Étant donné la grande probabilité que les jeunes rencontrent ou cherchent du contenu pornographique en ligne à un moment donné ou à un autre, sans compter les nombreux messages qu’ils reçoivent sur le sexe par l’intermédiaire d’autres médias, il est important que les parents jouent un rôle actif dans l’utilisation d’Internet de leurs enfants et commencent à leur parler des relations saines et de la sexualité à un très jeune âge pour les aider à contextualiser et à prendre des décisions quant au contenu qu’ils voient en ligne.
Les médias traditionnels comme le cinéma, la presse écrite et la musique ont toujours un impact significatif sur l’image corporelle des jeunes. Des recherches ont montré que même les actualités peuvent favoriser les préjugés sur le poids dans leur façon de montrer des personnes plus corpulentes, à la fois dans les photographies et dans leur manière d’aborder le poids et la santé.
Les enfants sont exposés à de nombreuses images peu réalistes du corps des femmes et des hommes dans les médias. Les émissions de télévision, les vidéos de musique, les publicités, les films, les jeux vidéo et les réseaux sociaux peuvent communiquer des idées à propos de ce que leur corps « devrait » avoir l’air. Les techniques pour manipuler les images, des techniques traditionnelles comme des retouches à l’aérographe aux technologies modernes comme des filtres, font en sorte qu’il est maintenant même possible pour les images médiatiques d’aller au-delà du possible de la réalité.
Lorsqu’il est question de la représentation de divers groupes dans les médias, en particulier ceux que nous considérons comme marginalisés, les stéréotypes sont souvent au cœur des préoccupations. Mais l’élimination d’un stéréotype ne va peut-être pas assez loin, et la question peut être plus compliquée que de simplement déterminer si un personnage est représenté de manière positive ou négative. La section qui suit explore différentes approches du contenu s’adressant à la communauté 2SLGBTQINA+ en analysant diverses façons dont les médias populaires ont caractérisé les personnes 2SLGBTQINA+.
Peu de questions reflètent notre anxiété concernant les jeunes et les médias sociaux comme le sextage. Comme pour les technologies qui remontent au moins au télégraphe, une grande partie de cette anxiété concerne précisément les filles et les femmes, ce qui est logique dans une certaine mesure : bien que les garçons et les filles envoient des sextos à peu près dans les mêmes proportions et que les sextos envoyés par les garçons soient plus susceptibles d’être transférés, il est vrai que la société désapprouve davantage les filles qui envoient des sextos et, par conséquent, que le tort qui leur est fait est plus grand lorsque des sextos qu’elles ont envoyés rejoignent un public plus élargi que prévu.
Après deux ans de pandémie COVID-19, il est plus évident que jamais que d'attaquer la question de la désinformation sur la COVID-19 devra se faire sous tous les angles possibles. Nous avons eu besoin de voix de confiance pour transmettre des messages forts, clairs et partageables dans les médias sociaux.