Cinéma - Aperçu
Les enfants ont toujours été fascinés par la magie du cinéma.
Les enfants ont toujours été fascinés par la magie du cinéma.
Cette section traite des préoccupations soulevées par les films que les enfants préfèrent. Elle offre aussi des conseils pour parler des contenus problématiques, tels la violence et les stéréotypes raciaux et sexuels, avec les enfants.
Un jeune enfant peut visionner un film à plusieurs reprises avant d'en assimiler l'histoire et les nuances. Laissez votre enfant regarder son film préféré aussi souvent qu'il le désire, car il apprend quelque chose de nouveau chaque fois.
Internet a révolutionné la façon dont les jeunes regardent des films : la moitié des adolescents canadiens admettent télécharger des films sans les payer au moins une fois par semaine. [1]
Bien que les adolescents peuvent sembler « avoir grandi », il faut encore aborder avec eux de nombreuses questions portant sur le contenu cinématographique. Même à l'adolescence, vous devez encore surveiller ce que vos jeunes regardent. Plusieurs films destinés aux jeunes ados d'environ 11 à 13 ans présentent un contenu peu approprié. Les systèmes de classement ne facilitent pas les choses puisque des films classés R (17 ans et +) au cinéma se retrouvent étiquetés 14A lorsqu'ils sortent en vidéos au Canada.
Lorsqu’il est question de la représentation de divers groupes dans les médias, en particulier ceux que nous considérons comme marginalisés, les stéréotypes sont souvent au cœur des préoccupations. Mais l’élimination d’un stéréotype ne va peut-être pas assez loin, et la question peut être plus compliquée que de simplement déterminer si un personnage est représenté de manière positive ou négative. La section qui suit explore différentes approches du contenu s’adressant à la communauté 2SLGBTQINA+ en analysant diverses façons dont les médias populaires ont caractérisé les personnes 2SLGBTQINA+.
Twitter est une plateforme de micro-blogging : on y publie des messages courts (moins de 140 caractères, espaces compris), qui répondent à la question « Qu'êtes-vous en train de faire ? ». Cette question a son importance : elle permet de situer Twitter, non comme un service de conversation, mais un service de partage.
Avec avril, voici revenue « la semaine sans télé », une semaine particulièrement suivie dans les écoles québécoises, où certaines ont même courageusement élargi le défi à dix jours, et à tous les écrans (ordinateur, Game Boy, etc…). Car force est de constater que, même si le visionnement de la télévision décline, depuis quelques années, c'est aux dépens d'autres écrans.
En tant que pédagogue oeuvrant pour l'éducation aux médias, je ne peux que me réjouir du fait que l'Ontario ait décidé d'inclure à son cursus scolaire des leçons sur la sécurité sur Internet.
Je n'ai pas eu la chance d'assister au Colloque international du CEFRIO intitulé Enquête sur la génération C : Les 12-24 ans, utilisateurs extrême d'Internet et des TI . L'événement n'était pas des moindres, puisque non seulement on y dévoilait les résultats attendus de cette enquête québécoise, mais on y attendait aussi des sommités internationales comme danah boyd (c'est elle qui n'aime pas les majuscules), et d'autres du crû comme Mario Asselin, Felix Genest ou Ron Canuel. Le programme, d'autant que j'ai pu en juger de l'extérieur, semblait allier orateurs et panels de discussion en proportions stœchiométriques. Et les conditions techniques étaient à la hauteur de l'intitulé du colloque : WiFi à volonté, et salle équipée d'un écran géant diffusant en temps réel les commentaires de twitterers zélés. Pour ceux qui ne connaissent pas bien Twitter, j'explique : le CEFRIO avait mis en place pour l'événement un « hashtag », en d'autres termes une étiquette (#GenC), qui permet de rassembler tous les tweets (messages) portant ce thème en une seule liste, laquelle liste était projetée en simultané dans la salle du colloque.