L’éducation aux médias numériques au service de la démocratie
Années scolaire : 9e à 12e années
A propos de l’auteur : HabiloMédias
Années scolaire : 9e à 12e années
A propos de l’auteur : HabiloMédias
Dans le cadre de cette leçon, les élèves explorent le rôle de la technologie et des médias dans leur vie et consacrent ensuite une semaine à faire le suivi ou à limiter leur utilisation des médias. Ils partagent ensuite leur expérience et discutent dans quelle mesure la façon dont les outils des médias numériques sont créés peut nous amener à les utiliser différemment (ou simplement plus souvent). Les élèves misent ensuite sur ces perspectives pour créer un plan d’utilisation consciencieuse des médias. Lors d’une activité d’approfondissement facultative, ils interrogent les autres élèves pour une vidéo explorant leur expérience et leurs réflexions pour l’ensemble du projet.
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.
Puisqu’il est très facile de copier et partager des informations en ligne, il est important de trouver la source de cette information pour savoir si vous pouvez lui faire confiance. Quelqu’un vous l’a peut-être partagée sur les réseaux sociaux, ou elle peut être basée sur une actualité racontée par quelqu’un d’autre.
Au cours de cette leçon, les élèves participeront à un atelier qui leur permettra d’apprendre une méthode en quatre étapes simples et rapides pour vérifier l’information en ligne. Après les avoir pratiqué, ils réaliseront un message d’intérêt public destiné à présenter une de ces étapes ainsi qu’à propager l’idée que chacun est responsable de vérifier l’information trouvée en ligne avant de la partager ou de s’en servir.
L’atelier FAUX que ça cesse : Comment savoir ce qui est vrai sur Internet enseignera aux participants quatre mesures faciles et rapides qu’ils peuvent prendre pour déceler les fausses informations et déterminer si le contenu en ligne est vrai ou non. L'atelier comprend des méthodes pour reconnaître la désinformation générée par l'IA, y compris les deepfakes, ainsi que des conseils sur la façon d'utiliser l'IA pour vérifier les informations.
L’atelier FAUX que ça cesse : Comment savoir ce qui est vrai sur Internet enseignera aux participants quatre mesures faciles et rapides qu’ils peuvent prendre pour déceler les fausses informations et déterminer si le contenu en ligne est vrai ou non.
Parfois, une simple recherche peut révéler la vérité si un vérificateur de faits professionnel a déjà fait le travail pour vous.
Que vous regardiez un site Web, une photo, une vidéo ou une actualité, l’important est de savoir si les personnes qui l’ont créé ou rapporté en premier sont fiables. Même si quelqu’un en qui vous avez confiance, comme un ami ou un membre de votre famille, vous a donné cette information, vous ne pouvez pas savoir s’ils l’ont vérifiée, alors c’est à vous de le faire!
Voici quatre étapes simples et rapides pour trouver et partager les bonnes informations. Souvent, une seule étape suffit et la plupart d’entre elles prennent moins d’une minute à effectuer.
Parfois, une simple recherche peut révéler la vérité si un vérificateur de faits professionnel, comme AFP Factuel, a déjà fait le travail pour vous.