Enseigner l’éthique en matière de vie privée
Avec les jeunes enfants, la meilleure approche consiste à établir un ensemble de règles claires et cohérentes, autant à la maison qu’à l’école, sur le partage du contenu d’autres personnes.
Avec les jeunes enfants, la meilleure approche consiste à établir un ensemble de règles claires et cohérentes, autant à la maison qu’à l’école, sur le partage du contenu d’autres personnes.
Il est important de faire connaître aux jeunes les lois qui s’appliquent à ce qu’ils font en ligne, ainsi que d’établir des règles à la maison qui couvrent les comportements en ligne.
Que veut-on dire par éthique et agir de façon éthique? Essentiellement, l’éthique est la façon dont nous déterminons qu’une action que nous réalisons, ou que quelqu’un d’autre réalise, est appropriée ou non. L’élément le plus fondamental de l’éthique est l’empathie, soit la capacité d’imaginer et de comprendre comment les autres se sentent. Nous commençons habituellement à apprendre l’empathie lorsque nous sommes petits, mais la suite de cet apprentissage, et sa pratique dépendent largement de ce qu’on nous enseigne.
Malgré toutes les préoccupations relatives aux jeunes et aux médias numériques, l’étude Jeunes Canadiens dans un monde branché de HabiloMédias a permis de conclure non seulement que la plupart des jeunes ne s’attirent pas des ennuis en ligne, mais qu’ils sont souvent gentils et attentionnés avec les gens qu’ils connaissent.
L’empathie est au cœur de l’éthique. Pour développer un sens du bien et du mal qui va plus loin que la peur de la punition ou l’espoir d’une récompense, nous devons pouvoir nous mettre à la place d’une autre personne.
La couverture médiatique des questions relatives à l’islam a changé considérablement depuis le début du nouveau millénaire, et ce, tant en quantité qu’en qualité. Les événements du 11 septembre 2001 ont propulsé la religion musulmane à l’avant-scène mondiale : la couverture de l’islam a radicalement changé, surtout dans les médias d’information et de divertissement, mais la façon d’en parler également.
On assiste aujourd’hui à une résurgence de l’antisémitisme dans les médias populaires, et ce, non seulement au Canada mais aussi à l’échelle planétaire. Bien qu’il compte la quatrième plus importante communauté juive du monde, le Canada ne fait pas partie des pays où l’antisémitisme a augmenté le plus considérablement.
Le Canada se veut un pays multiculturel et diversifié, mais l’une des plus grandes critiques que l’on pourrait formuler à l’encontre du traitement de la religion dans les médias canadiens est qu’il ne reflète pas cette diversité.