
Gérer l’utilisation des médias avec les préadolescents (de 10 à 13 ans)
Deux grands changements surviennent à cet âge : le début de l’adolescence et (pour la plupart des enfants) le début de l’utilisation des téléphones et des médias sociaux. Bien que les plus jeunes utilisent la technologie numérique, il s’agit souvent d’un élément essentiel du développement et de l’épanouissement des préadolescents. C’est aussi à ce moment qu’ils commencent à explorer des outils créatifs, comme la création de vidéos, le codage, le jeu vidéo et l’expression de soi, ce qui peut représenter de formidables occasions d’apprentissage et de création de liens, lorsqu’ils sont utilisés de façon sécuritaire.
Comment décourager le plagiat
Fait quelque peu étonnant, ce ne sont pas seulement les élèves en difficulté qui plagient : en effet, il est possible que les élèves sur qui on fait pression pour atteindre des objectifs soient plus susceptibles d’adopter des formes plus subtiles (et plus difficiles à détecter) de plagiat1. Les chercheurs ont cerné trois situations dans lesquelles cela est le plus probable : lorsque les élèves sont sous pression (travaux qui doivent être faits dans un délai serré, travaux particulièrement importants pour leur année scolaire), lorsque les élèves ne sont pas intéressés par le travail, et lorsque les élèves estiment que le devoir est injuste au point où ils n’ont pas espoir de réussir sans tricher2.

Savourer ton indépendance tout en faisant preuve de prudence en ligne : un guide pour la vie en ligne pour les étudiants post-secondaires
Savourer ton indépendance tout en faisant preuve de prudence en ligne : un guide pour la vie en ligne pour les étudiants post-secondaires accompagne les jeunes adultes alors qu’ils font l’expérience des libertés et des défis de la vie après le secondaire.

Nous sommes tous des diffuseurs – fiche-conseil
Voici trois conseils qui vous permettront de vous assurer de partager de bonnes informations et de mettre un frein à la propagation des canulars, des rumeurs et des arnaques.
1. Méfiez-vous de vos propres partis pris.
Pour être un diffuseur responsable, il faut être conscient des raisons pour lesquelles vous pourriez être plus susceptible de croire quelque chose sans avoir de preuves. Avant de partager une nouvelle, prenez quelques minutes pour déterminer si vous êtes tombé dans le panneau de l’un des partis pris fréquents suivants.

FAUX que ça cesse : Comment savoir ce qui est vrai sur Internet
Voici quatre étapes simples et rapides pour trouver et partager les bonnes informations. Souvent, une seule étape suffit et la plupart d’entre elles prennent moins d’une minute à effectuer.
Utiliser des outils de vérification des faits
Parfois, une simple recherche peut révéler la vérité si un vérificateur de faits professionnel, comme AFP Factuel, a déjà fait le travail pour vous.