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« L’autoroute des larmes » (the « Highway of Tears »), comme on l’a surnommée, est une portion d’autoroute de 800 kilomètres en Colombie-Britannique où plus d’une douzaine de jeunes femmes ont disparu depuis 1994 ; là même où près de 20 jeunes femmes avaient disparu ou avaient été assassinées entre la fin des années 1960 et le début des années 1980. Jusqu’à tout récemment, cependant, ces crimes avaient été peu médiatisés, probablement parce que la majorité des victimes étaient des femmes autochtones.
Depuis que les médias alternatifs existent, les allosexuels ont su créer leurs propres médias. Les médias imprimés tels que les zines (revues à faible diffusion, en général bon marché), les brochures de même que le cinéma allosexuel ont dominé ce paysage médiatique, mais depuis l’avènement de l’ère électronique avec ses moyens de production moins coûteux et plus accessibles, on assiste à une explosion de médias allosexuels de toutes sortes.
Les médias numériques, en particulier Internet et le jeu vidéo, tiennent une place toujours croissante dans la vie de nos enfants et de nos jeunes. Et même lorsqu’ils consomment d’autres médias comme la télévision, la musique et le cinéma, ils le font souvent via Internet. Par ailleurs, on retrouve une page Web, un univers virtuel, des jeux vidéo ou d’autres sous-produits numériques gravitant autour de la plupart des médias qu’ils consomment – partant du simple jouet à l’émission télévisuelle.
Les jeux vidéo de qualité apportent de nombreux avantages aux enfants et aux adolescents.
Dans l’industrie du divertissement, c’est le secteur des jeux vidéo qui connaît la croissance la plus rapide, devancé uniquement par la musique pour ce qui est de la rentabilité. En 2011, les ventes globales de logiciels de jeux vidéo ont atteint près de 17 milliards de dollars aux États-Unis [1].
Soixante-deux pour cent des joueurs canadiens sont de sexe masculin [1] et dans un marché qui vise principalement les garçons, il peut être difficile de trouver des jeux qui plaisent aux filles.
Pendant toute la durée de l’école primaire, les parents sont les principaux éducateurs de leurs enfants. À ce titre, ils doivent s’impliquer activement en choisissant des jeux appropriés pour leurs jeunes, en décidant du temps alloué à ce divertissement et en leur parlant des valeurs véhiculées dans leurs jeux préférés.
Pour la plupart des adolescents, jouer à des jeux vidéo ne représente qu’une autre activité à partager avec leurs amis. Pour d’autres, cependant, il s’agit d’une activité créant dépendance et isolement.
Il existe deux principales stratégies pour lutter contre la propagande haineuse en ligne et les cultures de haine dans la salle de classe : enseigner aux jeunes à les reconnaître et les déconstruire, puis leur donner les moyens d’intervenir par la réplique[1].
L’énorme richesse informationnelle que renferme Internet n’a pas échappé aux écoles, qui n’hésitent pas à envoyer les élèves sur le Web pour y faire de la recherche : selon une étude réalisée en 2009, 72 pour cent des enseignants donnent des devoirs impliquant l’utilisation d’Internet. Cependant, cette incitation à utiliser Internet n’est pas forcément précédée d’une formation sur la façon de rechercher sur le Net. Il est donc important pour les parents de pouvoir guider leurs enfants lorsqu’ils doivent faire des recherches en ligne.