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Puisqu’il est très facile de copier et partager des informations en ligne, il est important de trouver la source de cette information pour savoir si vous pouvez lui faire confiance. Quelqu’un vous l’a peut-être partagée sur les réseaux sociaux, ou elle peut être basée sur une actualité racontée par quelqu’un d’autre.

Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.

À ses balbutiements, Internet était souvent considéré comme un marché libre d’idées où les opinions et les réflexions de tous pouvaient être partagées et rivaliser sur un pied d’égalité. Aujourd’hui, il s’agit d’un outil essentiel pour accéder à de l’information et à des services, mais sa valeur comme instrument d’engagement civique et de débat a, à de nombreux égards, diminué.

La plupart des enfants sont témoins de haine et de préjugés  dans des espaces comme les jeux, les réseaux sociaux et les vidéos en ligne. Ils disent également qu’ils veulent intervenir lorsqu’ils en sont témoins, mais ne savent pas quoi faire.

La plupart des jeunes  sont témoins de haine et de préjudices en ligne, et la plupart d’entre eux disent qu’il est important d’intervenir. Mais que tu aies vu une vidéo contenant des théories du complot racistes ou un ami partager un mème offensant, il peut être difficile de savoir quoi faire.

Mon Dieu! Je suis à un cheveu de croire que j'ai un réel problème d'alignement de mes chakras !

Qu’on se le dise!

Être parent aujourd’hui, c’est loin d’être toujours simple! Il suffit en effet de penser à toutes ces injonctions qui nous sont faites constamment, parmi lesquelles nous nous retrouvons désormais à devoir légiférer en plus sur la consommation des écrans par nos chers ados!

Ça y est, c’est l’âge : ma fille, 10 ans, veut un compte sur Facebook. Comme plusieurs de ses amies, qui en ont déjà un depuis longtemps. Même si l’âge légal est de 13 ans... La pression est forte. La tentation est grande d’accepter à condition que « tu m’acceptes comme amie et que je vérifie tout ce que tu postes et ce que tu reçois »... Comme cette maman qui surveille les réseaux sociaux de ses enfants à partir de son téléphone cellulaire.

Voici trois conseils qui vous permettront de vous assurer de partager de bonnes informations et de mettre un frein à la propagation des canulars, des rumeurs et des arnaques.

1. Méfiez-vous de vos propres partis pris.

Pour être un diffuseur responsable, il faut être conscient des raisons pour lesquelles vous pourriez être plus susceptible de croire quelque chose sans avoir de preuves. Avant de partager une nouvelle, prenez quelques minutes pour déterminer si vous êtes tombé dans le panneau de l’un des partis pris fréquents suivants.

Ces activités stimulantes et amusantes, où la rapidité est la clé, donnent l’occasion aux adolescents et aux adultes de tester leurs habiletés et d’acquérir de nouvelles techniques d’authentification.