Joyeuses Fêtes
Meilleurs voeux de l'équipe HabiloMédias
L’année 2014 tire à sa fin et nous porte à faire une réflexion sur les moments excitants et occupés que nous avons vécus cette année.
L’année 2014 tire à sa fin et nous porte à faire une réflexion sur les moments excitants et occupés que nous avons vécus cette année.
Le 10 février est la Journée pour un Internet plus sûr (#SID2015), un événement international annuel organisé par InSafe pour aider à promouvoir l’utilisation plus sécuritaire et plus responsable des technologies en ligne, surtout par les jeunes. HabiloMédias et Facebook veulent que vous nous aidiez à marquer cette journée en rappelant aux jeunes de « réfléchir avant de partager » lorsqu’ils sont en ligne!
En tant que parent, nous sommes bien souvent préoccupés par les contenus médiatiques que consomment nos enfants. Car bien sûr, en plus d’être distrayants, nous aimerions bien que ceux-ci ne soient pas trop violents. Et qu’au mieux, ils véhiculent des valeurs socialement acceptables à nos chers petits.
Mon billet sur les résolutions du Nouvel An sera bientôt diffusé, mais je voulais d’abord vous écrire un petit mot sur l’une des nôtres. Cette année, j’ai pris la résolution de regarder plus de films (oui, plus!). Cela peut sembler un peu étrange puisque bon nombre d’entre nous avons présentement de la difficulté à convaincre nos propres enfants de déposer leurs appareils et de passer moins de temps devant l’écran, mais tout de même.
Le billet d’hier concernait notre résolution visant à regarder plus de films cette année. Le présent billet concerne les sources de ces films et la question des téléchargements illégaux. Pour obtenir du contexte, je recommande de lire le récent billet de Matthew Johnson sur ce que les enfants regardent en ligne et comment ils accèdent à leurs médias.
Le 25 février, nous célébrerons la Journée du chandail rose - une journée dédiée à la sensibilisation à l'intimidation, visant à donner aux jeunes les outils dont ils ont besoin pour résister à l'intimidation et à leur enseigner comment intervenir quand ils en sont témoins. Pour vous aider à marquer la journée, nous avons rassemblé une liste de ressources.
Pendant les fêtes, je me suis retrouvée à discuter avec des amies, elles aussi mamans, des comportements de nos enfants qui dès leur plus jeune âge, sont déjà concernés par leur image.
Cela fait bientôt 15 ans que Mark Prensky a inventé le terme « enfants du numérique » pour décrire les jeunes ayant grandi avec Internet et les médias numériques. En fait, les enfants nés l’année de la publication de son livre sont maintenant au secondaire. Si, pour beaucoup de gens, l’image des jeunes naviguant comme des poissons dans l’eau sur les plateformes numériques persiste – ainsi que celle des adultes, les parents particulièrement, considérés (souvent par eux-mêmes) comme complètement dépassés –, il reste à savoir si cette perception correspond vraiment à la réalité. Les jeunes Canadiens ont-ils réellement des connaissances numériques de base ? Et s’ils ne sont pas des « enfants du numérique » qui acquièrent leurs compétences sans effort par eux-mêmes ou grâce à leurs pairs, les élèves apprennent-ils ce qu’ils ont besoin de savoir de leurs parents ou de leurs professeurs ?
Si le public semble enfin comprendre que les adolescents attachent de l'importance à leur vie privée – telle qu'ils la définissent – l'idée que les jeunes enfants ont des renseignements personnels qu'il importe de protéger est encore nouvelle. La majorité des gens seraient surpris d'apprendre à quel âge les jeunes enfants commencent à naviguer sur le Net : l'âge moyen est passé de dix ans en 2002 à quatre ans en 2009 (Findahl, Olle, Preschoolers and the Internet, présenté à la conférence EU Kids Online, Londres, 11 juin 2009. http://www.lse.ac.uk/collections/EUKidsOnline/EU%20Kids%20I/Conference%20Papers%20and%20abstracts/Emerging%20Issues/Findahl.pd) et depuis l'avènement du iPhone et du iPad, cet âge est sans doute encore plus bas.