Ce programme de sensibilisation du public, créé dans le cadre d'un partenariat entre HabiloMédias et l'Initiative canadienne pour l'intégrité électorale Facebook, se concentre sur l'authentification des renseignements en ligne.
Télévision
Les actualités en ligne sont une des choses les plus difficiles à vérifier. Parfois, des premiers reportages qui se sont avérés faux continuent de circuler sur Internet et certaines personnes peuvent décider de faire circuler des faux articles à des fins commerciales, malveillantes ou tout simplement pour « s'amuser ».
Les jeunes aujourd’hui passent plus de temps devant les écrans, dès un plus jeune âge, et à partir d’une plus grande variété d’appareils que jamais auparavant, ce qui mène un plus grand nombre de parents à chercher de l’aide pour savoir comment reprendre le contrôle du temps que leurs enfants passent devant un écran.
Si vous avez déjà vu les yeux vitreux d’un enfant qui regarde une troisième heure de dessins animés, ou que vous avez dû lui arracher des mains un dispositif de jeu alors qu’il vous supplie de le laisser terminer ce niveau de la partie, vous savez pourquoi le temps d’écran est un problème. Voici quatre importantes mesures à prendre pour garder le contrôle du temps d’écran et faire de l’utilisation des écrans un aspect important de la vie de vos enfants.
Le guide RÉAGISSEZ! Comment intervenir en matière de questions médiatiques vous fournit les outils entamer la discussion avec les sociétés médiatiques.
De la tablette à la télévision, les médias exercent une énorme influence sur la perception que nous avons de nous-mêmes et du monde. Et c’est probablement dans la question du genre que cette affirmation prend vraiment tout son sens. En effet, les médias sont bien souvent à l’origine de notre idée de ce que « sont » les hommes et les femmes, des comportements que nous voulons reproduire ou, au contraire, éviter, et des modèles que nous souhaitons imiter pour remplir le rôle de genre qui nous a été attribué.
Initialement publié sur CBC Parents
Note de la rédaction : Il existe tellement de renseignements contradictoires au sujet du temps d’écran, et une grande partie de ces renseignements nous font nous sentir coupables, inquiets ou même les deux. Nous avons demandé à Matthew Johnson, directeur de l’éducation de HabiloMédias (le centre canadien d’éducation aux médias et de littératie numérique), de nous donner l’heure juste sur le sujet. Pourquoi faire tout un plat du temps d’écran? Voici sa réponse.
En plus des images de désastres naturels et de violence, le reportage des crimes haineux, un sujet assez commun aux nouvelles, peut également être troublant pour les enfants. Le fait de voir ou d’entendre dans les médias les agressions motivées par la haine et le vandalisme des maisons, des cimetières et des lieux de culte, peut susciter de la peur ou de l’anxiété chez les jeunes, en particulier s’ils appartiennent à des groupes vulnérables. Dans plusieurs cas, l’effet sera pire parce que les jeunes canadiens ne sont pas témoins de racisme et de haine que dans les actualités : près de la moitié voit du contenu haineux en ligne au moins une fois par mois et un sur six en voit tous les jours.
Si vous n’avez pas vu l’histoire de la « princesse hot dog » qui circule sur Internet, je vous suggère de lire cet article de BuzzFeed. Lors de la « semaine des princesses » du cours de danse d’Ainsley, 5 ans, elle a décidé de porter un costume de hot dog. En tant que parent, c’est le genre d’impertinence juvénile que j’appuie. Après tout, il s’agissait d’une princesse qui savait vraiment qui elle était, une princesse pas comme les autres princesses, une « princesse hot dog » (#hotdogprincess).
Dans cette leçon, les élèves apprennent à remettre en question les représentations médiatiques du genre, des relations et de la sexualité. Après un bref questionnaire de démystification de mythes sur les relations dans les médias et un rappel de la nature fabriquée des produits médiatiques, l’enseignant amène la classe à analyser les messages sur le genre, le sexe et les relations communiqués par les publicités pour la bière et l’alcool. Les élèves analysent les messages communiqués par leurs types de médias préférés et en font une comparaison avec leur propre expérience.