La représentation des personnes handicapées dans les médias : Solutions
Les producteurs de médias reconnaissent devoir faire des efforts pour mieux représenter les personnes handicapées.
Les producteurs de médias reconnaissent devoir faire des efforts pour mieux représenter les personnes handicapées.
La télévision est une composante incontournable du monde moderne. Elle influence nos loisirs, notre savoir, notre culture et nous renseigne sur l'actualité, la météo, le sport et même sur la musique.
La plupart d'entre nous gardons de bons souvenirs d'enfance de nos soirées passées à regarder la télévision en famille. Toutefois, ce qui n'était alors qu'un simple passe-temps est peu à peu devenu une préoccupation de la vie familiale moderne.
L'écoute de la télévision diminue généralement à l'adolescence alors que les jeunes commencent à passer plus de temps à socialiser, faire leurs travaux scolaires et à utiliser à d'autres médias comme la musique, les jeux vidéo, les ordinateurs et Internet.
La Loi sur la radiodiffusion du Canada, modifiée pour la dernière fois en 1991, énonce les lignes directrices de l’industrie en matière de représentation de la diversité.
Des écrivains et des militants pour la justice sociale se sont inspirés de l'essai original sur le privilège rédigé par Peggy McIntosh en 1988. Ils ont souligné que le privilège ne porte pas uniquement sur la race ou le sexe, mais qu'il s'agit d'une série de hiérarchies en corrélation et d'une dynamique du pouvoir qui touchent tous les aspects de la vie sociale : la race, la classe, le sexe, l'orientation sexuelle, la religion, l'éducation, l'identité sexuelle, l'âge, la capacité physique, le passing, etc. Ces catégories sont examinées plus en détail ci-dessous.
Le Canada se veut un pays multiculturel et diversifié, mais l’une des plus grandes critiques que l’on pourrait formuler à l’encontre du traitement de la religion dans les médias canadiens est qu’il ne reflète pas cette diversité.
« Il est révolutionnaire pour toute personne transgenre de choisir d’être vue et d’être visible dans un monde qui nous dit que nous ne devrions pas exister. » – Laverne Cox
Les stéréotypes se fondent en partie sur l’idée reçue que les membres d’un groupe distinct se ressemblent tous ou peuvent être classés dans un nombre restreint de catégories. Ceci est d’autant plus vrai pour les quelques cas de personnes handicapées représentées dans les médias.
Comme dans d’autres médias, les personnes 2SLGBTQINA+ ont acquis une présence plus importante et plus visible dans le monde de la publicité, les agences de publicité courtisant l’« argent rose ». Ce n’est pas surprenant étant donné que le pouvoir d’achat des personnes 2SLGBTQINA+ est estimé à environ 917 millions de dollars.