Manger sous un arc-en-ciel - Activité
Cette activité amène les élèves à connaître le Guide canadien et à leur montrer comment choisir de bonnes collations malgré les influences médiatiques parfois négatives.
Cette activité amène les élèves à connaître le Guide canadien et à leur montrer comment choisir de bonnes collations malgré les influences médiatiques parfois négatives.
Ce module de trois jours permet aux élèves d’évaluer la couverture médiatique de certaines catastrophes naturelles et des événements qui s’ensuivent.
Au cours de cette leçon, les élèves sont initiés à l’histoire de la pratique du « blackface » (littéralement, « face noire » – une forme de représentation raciste traditionnelle dans laquelle les acteurs se maquillaient en noir pour évoquer les traits ethniques stéréotypés des Noirs aux États-Unis) et aux autres exemples d’acteurs qui proviennent de groupes majoritaires et jouent des personnages de groupes minoritaires, comme des acteurs blancs jouant des personnages asiatiques ou autochtones ainsi que des acteurs valides jouant des personnages atteints d’une incapacité.
Cette activité veut familiariser les élèves avec les techniques de marketing utilisées dans les pubs sur les aliments tant à la télé que dans les magazines.
Cette leçon permet aux élèves de mieux comprendre ce qu’est la désignation de boucs émissaires et la altérisation et de voir comment ces comportements attisent la haine et l’intolérance.
Plus que toute autre chose dans les médias, la couverture médiatique influence les personnes et les questions qui font partie de la conversation nationale et la façon dont ces questions sont abordées[1]. Lorsqu’il est question des peuples et des communautés autochtones, les questions politiques ou constitutionnelles, les incendies de forêt, la pauvreté, les abus sexuels et la dépendance aux drogues semblent souvent constituer la seule forme de couverture médiatique accordée aux communautés autochtones. Quelques reportages sur des activités culturelles apparaissent ici et là dans les médias locaux, mais il faut être très attentif pour les trouver.
« L’autoroute des larmes » (the « Highway of Tears »), comme on l’a surnommée, est une portion d’autoroute de 800 kilomètres en Colombie-Britannique où plus d’une douzaine de jeunes femmes ont disparu depuis 1994 ; là même où près de 20 jeunes femmes avaient disparu ou avaient été assassinées entre la fin des années 1960 et le début des années 1980. Jusqu’à tout récemment, cependant, ces crimes avaient été peu médiatisés, probablement parce que la majorité des victimes étaient des femmes autochtones.
La couverture médiatique des questions relatives à l’islam a changé considérablement depuis le début du nouveau millénaire, et ce, tant en quantité qu’en qualité. Les événements du 11 septembre 2001 ont propulsé la religion musulmane à l’avant-scène mondiale : la couverture de l’islam a radicalement changé, surtout dans les médias d’information et de divertissement, mais la façon d’en parler également.
On assiste aujourd’hui à une résurgence de l’antisémitisme dans les médias populaires, et ce, non seulement au Canada mais aussi à l’échelle planétaire. Bien qu’il compte la quatrième plus importante communauté juive du monde, le Canada ne fait pas partie des pays où l’antisémitisme a augmenté le plus considérablement.
Le Canada se veut un pays multiculturel et diversifié, mais l’une des plus grandes critiques que l’on pourrait formuler à l’encontre du traitement de la religion dans les médias canadiens est qu’il ne reflète pas cette diversité.