L'alcool, la publicité et les jeunes - Comprendre le fonctionnement des marques - Activité
Cette troisième activité est une étape nécessaire avant d’aborder Interpréter les messages publicitaires, le quatrième et dernier volet de la série.
Cette troisième activité est une étape nécessaire avant d’aborder Interpréter les messages publicitaires, le quatrième et dernier volet de la série.
Cette activité favorise une prise de conscience des tactiques de marketing qui ciblent les ados, au moyen de leurs propres simulations de campagnes publicitaires.
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.
Les recherches de HabiloMédias ont démontré que les enfants assujettis à des règles à la maison sur l’utilisation des appareils technologiques sont moins susceptibles, notamment, de publier leurs coordonnées, de visiter des sites de jeu ou de pornographie, et de parler à des étrangers en ligne. Une entente familiale ou un ensemble de règles représente aussi un bon moyen pour les parents et les enfants de travailler ensemble sur la façon de naviguer de façon sécuritaire, judicieuse et responsable sur Internet.
Même si vous vous mesurez à des campagnes de marketing de plusieurs millions de dollars et à la pression des pairs, les recherches ont démontré que les enfants sont moins susceptibles de commencer à fumer ou à vapoter s’ils en ont déjà discuté avec leurs parents.
Ce n’est un secret pour personne, je pense, le climat général sur les médias sociaux peut parfois devenir un peu malsain. Et c’est sans doute pire depuis le début de la pandémie l’année dernière. Un peu comme si chacun étant confiné derrière son écran, on n’avait plus tous que ça à faire, s’invectiver à coups d’insultes et d’argumentations banales. Un peu comme si notre opinion avait le pouvoir de changer l’ordre du monde et qu’il fallait par conséquent convaincre les autres à tout prix. Peu importe la façon.
Chaque année en novembre et décembre, c’est un peu le même rituel qui se répète dans nos chaumières. Nos enfants et nos ados qui soudainement, en voyant l’imminence de Noël à nos portes, se mettent soudainement à se créer mille envies. En 2013, Statistique Canada évaluait à quelques 401 M$ les dépenses faites par les familles pour l’achat de cadeaux. Une vraie fortune!