Aborder avec les jeunes la redistribution de messages à contenu sexuel
Un guide de TELUS Averti pour les parents
Un guide de TELUS Averti pour les parents
Nous avons compilé quelques-unes de nos meilleures ressources pour aider votre famille pendant ces temps douteux.
Ce qu’il y a de fascinant avec l’adolescence je trouve – celle de nos ados en particulier, parce qu’en tant que parent, on est amené à l’observer de près – c’est qu’une situation qu’on pensait sous contrôle une journée peut s’avérer nécessiter certains ajustements du jour au lendemain. Aussi, je pense que d’avoir un adolescent à la maison, c’est un peu avoir cet immense privilège de voir en direct et à la seconde précise ce moment venu d’aborder certaines questions précises avec notre adolescent.
Ce module de trois jours permet aux élèves d’évaluer la couverture médiatique de certaines catastrophes naturelles et des événements qui s’ensuivent.
Cette leçon permet aux élèves de mieux comprendre ce qu’est la désignation de boucs émissaires et la altérisation et de voir comment ces comportements attisent la haine et l’intolérance.
Le sextage – et, surtout, nos préoccupations à cet égard – est souvent dépeint comme étant un phénomène touchant essentiellement les filles; il peut donc être surprenant que des données de l’étude Jeunes Canadiens dans un monde branché (JCMB) de HabiloMédias montrent que les garçons et les filles sont tout aussi susceptibles d’envoyer des sextos d’eux-mêmes.[i]
Il existe peu de preuves que l’envoi de sextos est en soi un acte risqué : par exemple, une étude menée en 2018 suggère que « les sextos peuvent être un moyen sain pour les jeunes d’explorer la sexualité et l’intimité lorsqu’ils sont consensuels ».
Les études portant sur les aspects sexospécifiques du sextage montrent systématiquement que tandis que les garçons qui envoient des sextos sont peu critiqués, les filles qui le font sont perçues comme étant sexuellement immorales: on considère que les filles qui envoient des sextos utilisent leur sexualité pour obtenir de l’attention alors qu’on assume que les garçons (même si leurs sextos deviennent publics) le font pour obtenir l’attention d’un seul partenaire potentiel [1].