Jeu des classements - Activité
Cette activité permet de présenter aux élèves des systèmes de classement des films, des cassettes vidéo, des émissions de télévision et des questions qu'ils soulèvent.
Cette activité permet de présenter aux élèves des systèmes de classement des films, des cassettes vidéo, des émissions de télévision et des questions qu'ils soulèvent.
Cette activité permet aux jeunes de comprendre la nature des stéréotypes en analysant l’image négative des pères à la télévision, plus particulièrement dans les comédies de situation et les messages publicitaires.
Cette activité permet aux élèves de découvrir les étapes nécessaires à la réalisation d'un reportage.
Le choix des mots et des images - processus normal et inévitable - dans la relation d'un fait n'est pas sans conséquences sur la façon dont l'événement est perçu.
Cette activité permet de réaliser l'importance de la musique dans le scénario d'une histoire audio ou télévisuelle. Elle permet aussi d’éveiller les enfants au rôle de la musique dans les médias et aux émotions qu'elle suscite.
Dans cette activité, les élèves du premier cycle du secondaire produisent en vidéo un téléjournal d'une durée de 20 minutes.
« Les technologies numériques peuvent avoir à la fois des effets positifs et négatifs sur le bien- être des jeunes, en fonction de l’activité effectuée et du temps qui y est consacré. » [1]
Le temps d’écran est un facteur important, mais pas autant que l’utilisation que les jeunes en font :
Qu’on se le dise!
Être parent aujourd’hui, c’est loin d’être toujours simple! Il suffit en effet de penser à toutes ces injonctions qui nous sont faites constamment, parmi lesquelles nous nous retrouvons désormais à devoir légiférer en plus sur la consommation des écrans par nos chers ados!
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.