La cyberintimidation et la loi (3e à 5e secondaire) - Activité
Cette leçon permet aux élèves d’explorer et de discuter des aspects juridiques de la cyberintimidation.
Cette leçon permet aux élèves d’explorer et de discuter des aspects juridiques de la cyberintimidation.
Dans cette dernière leçon de l'unité, les élèves appliquent leurs compétences en matière de recherche et de pensée critique pour apprendre à trouver des sources légitimes en ligne pour le téléchargement et la diffusion en flux de films, de musique et de vidéos.
Dans le cadre de cette leçon, les élèves apprennent à créer des chaînes de recherche bien définies et à utiliser des outils et des techniques telles que la mise en signet, les filtres du navigateur et les préférences du moteur de recherche pour éviter le contenu indésirable.
Dans cette leçon, les élèves apprennent à authentifier de l'information en ligne en comparant des « faits » obtenus sur le site Web http://www.legorafi.fr avec des sources autorisées.
L'industrie de la musique va mal. Et c'est la faute d'Internet.
Pourquoi ? A cause du partage de fichier ( « Peer to Peer », ou encore P2P) –la bête noire des maisons de disques.
En 2007, la cyberintimidation a été le sujet non académique numéro un dans les écoles canadiennes. Intimider sur Internet est plus facile qu'intimider dans la réalité: on peut opérer anonymement, sans peur des représailles, et on ne voit pas les conséquences de ses actes sur autrui – comme l'a joliment exprimé mon fils : « On n'a jamais vu un ordinateur pleurer ! »
Au hasard du Net, je suis récemment tombée sur une série d'articles commentant la libération de l'otage franco-colombienne Ingrid Bétancourt, détenue par les Farc depuis six ans. Cette libération a embrasé la France à la manière des événements du 11 septembre : une immense émotion collective –mais qui dans le cas présent était positive. Or plusieurs articles s'interrogeaient sur le traitement médiatique de cette libération en des termes pour le moins inattendus : l'un d'entre eux allait jusqu'à arguer que si cette libération a provoqué un tel engouement public, c'est parce que l'otage était une jeune femme (comptez cela comme un premier argument), « sans défense », « frêle et menue », mais néanmoins « glamour ». La question qui vient alors à l'esprit est la suivante : est-ce réellement les médias qu'on déconstruit, ici ? N'est-ce pas plutôt la réalité qu'on reconstruit pour nous, par la lorgnette étroite des stéréotypes sexuels et sexistes ?
L'ACEI et HabiloMédias ont collaboré à la création d'une série de cinq fiches-conseils visant à instruire les Canadiens sur les problèmes de sécurité en ligne. La cinquième fiche-conseils de la série, portant sur la socialisation et les interactions en ligne, examine les problèmes qui peuvent survenir en dialoguant avec d'autres par les technologies en réseau, comme le hameçonnage et les canulars, ainsi que les stratégies pour y faire face.
Il existe une inquiétude grandissante à propos de la retouche d'images. En octobre dernier, la photo altérée de Filippa Hamilton dans une publicité de Ralph Laurencréait un petit scandale médiatique, et relançait la polémique à propos de l'incitation à l'anorexie provoquée par de telles photos. Cet incident arrivait au même moment que la proposition de loi française de la députée UMP Valérie Boyer relative à la signalisation des images retouchées : « Les photographies publicitaires de personnes dont l'apparence corporelle a été modifiée par un logiciel de traitement d'image doivent être accompagnées de la mention : “Photographie retouchée afin de modifier l'apparence corporelle d'une personne”. »
Le 6 décembre 1989, à l'École Polytechnique de Montréal, Marc Lépine tuait quatorze femmes, puis se suicidait en blâmant le féminisme pour tous les échecs de sa vie. Le Parlement du Canada commémora ce drame en décrétant le 6 décembre comme Journée nationale de commémoration et d'action contre la violence faite aux femmes.