Les conséquences de la violence - Activité
Les élèves reconnaissent l'absence ou la représentation irréaliste des conséquences de la violence dans les médias.
Les élèves reconnaissent l'absence ou la représentation irréaliste des conséquences de la violence dans les médias.
Cette activité permet aux élèves de comprendre ce qu'est un stéréotype et de reconnaître les stéréotypes présentés à la télévision.
Cette activité vise à sensibiliser les élèves à la manière dont la violence masculine est utilisée et exploitée en publicité.
Au cours de cette leçon, les élèves sont initiés à l’histoire de la pratique du « blackface » (littéralement, « face noire » – une forme de représentation raciste traditionnelle dans laquelle les acteurs se maquillaient en noir pour évoquer les traits ethniques stéréotypés des Noirs aux États-Unis) et aux autres exemples d’acteurs qui proviennent de groupes majoritaires et jouent des personnages de groupes minoritaires, comme des acteurs blancs jouant des personnages asiatiques ou autochtones ainsi que des acteurs valides jouant des personnages atteints d’une incapacité.
Cette leçon permet aux élèves de se pencher sur les pressions exercées par notre société pour se conformer aux normes de beauté, en particulier pour être mince, et les préjugés associés au surpoids. Par le biais d’une discussion et d’activités en classe, les élèves pourront reconnaître comment les médias nous poussent à avoir une certaine apparence, comment les images dans les médias peuvent entraîner des préjugés à l’égard de ceux qui ne se conforment pas à leurs normes de beauté, et dans quelle mesure le corps idéal est différent dans le monde et a changé au fil du temps.
Dans cette activité de trois jours, les élèves participeront à un sondage qui les amènera à mieux comprendre leurs comportements et perceptions face au monde du sport et de la publicité.
Les médias autochtones existent depuis longtemps au Canada. Alors que les premiers journaux destinés aux Autochtones étaient publiés par des colons, il existe des journaux dirigés par des Autochtones depuis que le chef, médecin et éditeur ojibwé a lancé The Indian à Hagersville, en Ontario, en 1885. Cette tradition s’est poursuivie grâce à la parution de journaux comme le Wawatay News, basés dans le nord de l’Ontario, et le Windspeaker à Edmonton[1].
Cette leçon aidera les élèves à comprendre la relation entre l’image corporelle et le marketing en explorant les campagnes de positivité corporelle d’Aerie et de Dove. Les élèves commenceront par lire des articles sur l’impact des campagnes de positivité corporelle sur les entreprises et les consommateurs. Ils examineront ensuite des publicités de positivité corporelle destinées aux hommes et liront des recherches sur le manque de représentation dans ce domaine. Ils compareront aussi une série de publicités traditionnelles à des publicités de positivité corporelle et discuteront de la manière dont les spécialistes du marketing ciblent les messages de « beauté idéale » tant auprès des hommes que des femmes ainsi que de leur efficacité. Les élèves détermineront, par le biais d’une discussion, si les publicités de positivité corporelle sont efficaces ou non en général.
Cette activité permet de sensibiliser les élèves du primaire à la présence de la violence dans les sports, ainsi qu'à la façon dont ils sont influencés par cette violence.
Cette activité permet de conscientiser les élèves à l'égard des différents types et degrés de violence présentés dans les émissions pour enfants et montrer aux élèves comment la violence dans les médias influence les jeunes téléspectateurs.