Internet et l'économie de l'attention
Je l'avoue, je fais plutôt partie des « optimistes d'Internet ».
Je l'avoue, je fais plutôt partie des « optimistes d'Internet ».
La dichotomie faite par Prensky à propos des « natifs » et des « immigrants » du numérique est de plus en plus chahutée. Dans l'article Evidence Doesn't Support Generational Distinction, Mark Bullen, du BC Institute of Technology, note que « C'est un fait accepté presque sans discussion que la génération Net, comme on l'appelle, est fondamentalement différente des générations précédentes, et que donc on devrait changer la façon de traiter cette nouvelle génération de travailleurs, d'étudiants, et de consommateurs. » Selon les partisans de cette idée, non seulement les nouvelles technologies font partie intégrante de la vie de la nouvelle génération, mais du fait que, à l'instar d'Obélix, ils sont tombés dedans quand ils étaient petits, leur développement (cérébral, dans leur cas) s'en est trouvé modifié par rapport aux générations précédentes.
Il y a quelques mois, James H. Billington, le bibliothécaire en titre de la bibliothèque nationale américaine déplorait que les communications électroniques étaient en train de détruire « l'unité de base de la pensée humaine : la phrase ».
Comme parent, c’est parfois difficile, voire même impossible, de ne pas comparer nos enfants à ceux des autres. Bébés, c’était l’âge auquel ils ont fait leurs premiers pas ou prononcé leurs premiers mots.
Quelqu’un m’a récemment envoyé une chronique, parue en décembre dernier dans le Globe and Mail, sur les méfaits de la pub destinée aux enfants. « Mais on n’a pas le droit de faire de la pub directement aux enfants au Canada! » lui ai-je répondu.
Les écoles sont censées être des lieux publics mais les publicitaires s’en servent de plus en plus pour cibler les jeunes. Les compagnies savent combien de temps les jeunes passent à l’école, en salle de classe, dans les activités parascolaires, ou simplement avec leurs amis, et ils ne veulent pas rater l’occasion de les atteindre dans ces endroits. Un milieu scolaire fournit un public de jeunes captifs et donne l’impression qu’il existe une approbation de la part des enseignants et du système scolaire.
Visiter des sites Web est l’activité la plus élémentaire sur Internet. Ce faisant, selon qu'on soit prudent et bien préparé ou non, on accède à un monde de possibilités et de divertissements où on se trouve devant une foule de problèmes.
Les moteurs de recherche sur Internet sont les outils principaux nous permettant de trouver des choses en ligne. Vous pouvez en tirer pleinement profit en apprenant comment ils fonctionnent et comment vous en servir rapidement et efficacement.
Internet est devenu un volet essentiel de la vie sociale de la plupart d’entre nous : nous l’utilisons pour obtenir des nouvelles d’amis de longue date, garder le contact avec les membres de notre famille et pour faire de nouvelles rencontres. Malheureusement, les interactions en ligne ne sont pas toutes aussi constructives que celles-ci. Cette fiche-conseils explique certaines des situations problématiques que nous rencontrons lorsque nous socialisons en ligne et procure des conseils sur la façon de les gérer.
La plupart de nos activités en ligne s’intègrent à l’une de ces trois catégories : échanger, faire des achats et s’amuser. Chacune comporte son lot de risques, et les consommateurs doivent en être conscients de sorte qu’ils puissent prendre les mesures requises pour s’en prémunir et protéger leurs ordinateurs.
L’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet (ACEI) et son partenaire HabiloMédias tiennent à veiller à ce que lorsque vous êtes en ligne, vous demeuriez en sécurité. Vous trouverez donc ci-dessous une liste des risques potentiels auxquels vous pourriez vous heurter au cours de vos activités en ligne ainsi que des outils proposés pour les atténuer.