Jouer avec sa confidentialité
Au cours de cette leçon, les élèves abordent le concept selon lequel leurs expériences de jeu peuvent compromettre leurs renseignements personnels.
Au cours de cette leçon, les élèves abordent le concept selon lequel leurs expériences de jeu peuvent compromettre leurs renseignements personnels.
Cette activité favorise une prise de conscience des tactiques de marketing qui ciblent les ados, au moyen de leurs propres simulations de campagnes publicitaires.
Ça y est, c’est l’âge : ma fille, 10 ans, veut un compte sur Facebook. Comme plusieurs de ses amies, qui en ont déjà un depuis longtemps. Même si l’âge légal est de 13 ans... La pression est forte. La tentation est grande d’accepter à condition que « tu m’acceptes comme amie et que je vérifie tout ce que tu postes et ce que tu reçois »... Comme cette maman qui surveille les réseaux sociaux de ses enfants à partir de son téléphone cellulaire.
Mon Dieu! Je suis à un cheveu de croire que j'ai un réel problème d'alignement de mes chakras !
Les recherches de HabiloMédias ont démontré que les enfants assujettis à des règles à la maison sur l’utilisation des appareils technologiques sont moins susceptibles, notamment, de publier leurs coordonnées, de visiter des sites de jeu ou de pornographie, et de parler à des étrangers en ligne. Une entente familiale ou un ensemble de règles représente aussi un bon moyen pour les parents et les enfants de travailler ensemble sur la façon de naviguer de façon sécuritaire, judicieuse et responsable sur Internet.
Même si vous vous mesurez à des campagnes de marketing de plusieurs millions de dollars et à la pression des pairs, les recherches ont démontré que les enfants sont moins susceptibles de commencer à fumer ou à vapoter s’ils en ont déjà discuté avec leurs parents.
L’automne dernier, l’Homme de la maison a entrepris d’activer la vérification de sécurité à plusieurs facteurs sur nos courriels afin qu’en cas de tentative de fraudes de nos comptes, nous puissions en être avertis le plus tôt possible. Une action toute simple, semble-t-il, à l’efficacité démontrée, et que les spécialistes en sécurité nous conseillent d’ailleurs vivement.
Ce n’est un secret pour personne, je pense, le climat général sur les médias sociaux peut parfois devenir un peu malsain. Et c’est sans doute pire depuis le début de la pandémie l’année dernière. Un peu comme si chacun étant confiné derrière son écran, on n’avait plus tous que ça à faire, s’invectiver à coups d’insultes et d’argumentations banales. Un peu comme si notre opinion avait le pouvoir de changer l’ordre du monde et qu’il fallait par conséquent convaincre les autres à tout prix. Peu importe la façon.
Ce qu’il y a de fascinant avec l’adolescence je trouve – celle de nos ados en particulier, parce qu’en tant que parent, on est amené à l’observer de près – c’est qu’une situation qu’on pensait sous contrôle une journée peut s’avérer nécessiter certains ajustements du jour au lendemain. Aussi, je pense que d’avoir un adolescent à la maison, c’est un peu avoir cet immense privilège de voir en direct et à la seconde précise ce moment venu d’aborder certaines questions précises avec notre adolescent.
Chaque année en novembre et décembre, c’est un peu le même rituel qui se répète dans nos chaumières. Nos enfants et nos ados qui soudainement, en voyant l’imminence de Noël à nos portes, se mettent soudainement à se créer mille envies. En 2013, Statistique Canada évaluait à quelques 401 M$ les dépenses faites par les familles pour l’achat de cadeaux. Une vraie fortune!