La représentation du milieu scolaire - Activité
Dans cette activité, les élèves sont amenés à prendre conscience des stéréotypes associés aux élèves et aux enseignants présentés à la télévision.
Dans cette activité, les élèves sont amenés à prendre conscience des stéréotypes associés aux élèves et aux enseignants présentés à la télévision.
Au cours de cette activité, les élèves remplissent un bref questionnaire qui porte sur l'image de soi, l'estime de soi et la publicité.
Dans cette activité, les élèves repèrent certains stéréotypes sexuels dans les médias.
Dans cette activité, les élèves de la 4e à la 6e année se sensibilisent à la façon dont les garçons et les filles sont représentés dans les médias.
Cette leçon met en lumière la façon dont les femmes sont représentées dans les médias.
Par cette activité, les élèves constatent et discutent de l'utilisation et de la prédominance de la sexualité dans la publicité.
Cette activité permet aux jeunes de comprendre la nature des stéréotypes en analysant l’image négative des pères à la télévision, plus particulièrement dans les comédies de situation et les messages publicitaires.
Dans cette activité, les élèves jettent un regard critique sur les stéréotypes sexuels d’origine culturelle; ils explorent les mécanismes utilisés, dans les images et les messages contenus dans la publicité sur l’alcool, pour promouvoir et renforcer ces stéréotypes.
Ça y est, c’est l’âge : ma fille, 10 ans, veut un compte sur Facebook. Comme plusieurs de ses amies, qui en ont déjà un depuis longtemps. Même si l’âge légal est de 13 ans... La pression est forte. La tentation est grande d’accepter à condition que « tu m’acceptes comme amie et que je vérifie tout ce que tu postes et ce que tu reçois »... Comme cette maman qui surveille les réseaux sociaux de ses enfants à partir de son téléphone cellulaire.
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.