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Malgré son grand âge, le Père Noël sait rester tendance. Cette année encore, sous le sapin, il y aura immanquablement de beaux gadgets technologiques, et bien sûr un ou deux jeux vidéo –une industrie qui se rit de la crise économique : au Canada, elle a réalisé une hausse des ventes de 36 pour cent entre 2007 et 2008.
Parfois je me dis que le monde a bien changé depuis mon adolescence. Lorsque je regarde mon ado, aujourd’hui âgé de 13 ans, perpétuellement connecté à son téléphone, comme si celui-ci lui était greffé à la main, il m’arrive d’avoir l’impression que mille ans nous séparent (minimum comme dirait l’autre!)
Chaque automne c’est la même chose ! Novembre n’est pas sitôt arrivé que mon teint prends une indescriptible couleur un peu verdâtre et des poils sortent de partout… Au point d’en venir parfois à me demander si Grinch, ce ne serait pas moi par moment!
Avec le lancement de la Xbox One ce novembre dernier, l’année 2013 a finalement fini d’accoucher de la nouvelle génération de consoles de jeux vidéo. La Wii U, la PlayStation 4 (PS4) et la Xbox One vont sûrement se retrouver sur la liste de plusieurs enfants au temps des fêtes cette année, mais ces nouvelles consoles sont loin d’être simplement un jeu d’enfant.
Qu’il s’agisse de Darth Vador, des Daleks dans « Doctor Who » ou des singes volants dans « Le Magicien d’Oz », la plupart d’entre nous se souviennent avoir vu quelque chose à l’écran que nous ne pouvions regarder que derrière un divan ou caché sous le manteau d’un de nos parents. En fait, 90 % des adultes indiquent garder un souvenir indestructible d’un traumatisme, pendant leur enfance, causé par quelque chose qu’ils avaient vu à la télévision ou dans un film. Ce que nous ne nous rappelons peut-être pas, cependant, c’est à quel point ces images et ces moments effrayants peuvent avoir des répercussions graves et persistantes. Comme nous guidons nos enfants à travers leur expérience avec les médias, il est important de comprendre que ce qu’ils voient peut entraîner des problèmes, comme des cauchemars saisissants, la peur de l’obscurité, des difficultés à dormir et un refus de dormir seul.
Une relation de longue date existe entre Internet et le sexe. D’aussi loin que les années 1980, Usenet et les systèmes de babillard électronique locaux étaient utilisés pour partager des fichiers texte pornographiques et des images grossières, et les gens se servaient des médias numériques pour établir et entretenir des relations en ligne. Toutefois, les estimations portant sur le volume de trafic en ligne et le contenu à teneur sexuelle ont tendance à être exagérées[1] et notre nouveau rapport – La sexualité et les relations amoureuses à l’ère du numérique – tiré du sondage d’HabiloMédias Jeunes Canadiens dans un monde branché, mené auprès de 5 436 élèves, montre que la sexualité et les relations amoureuses n’occupent qu’une place relativement petite dans la vie en ligne des jeunes Canadiens.
Le classement des émissions de télévision, je me rends compte, en tant qu’agente d’évaluation aux contenus télé, que c’est un peu nébuleux pour les gens autour de moi. Aussi, il est fréquent qu’on me demande comment, dans le cadre de mon travail, je procède pour en arriver à la décision de classer une émission Général, 8+, 13+, 16+ ou même, 18+ dans certains cas plus rares.
Pour la plupart des jeunes, Internet c’est avant tout un lieu où développer des relations et si la majorité des interactions sociales sont positives, un nombre croissant de jeunes se servent de la technologie pour intimider et harceler les autres – un phénomène qui a pour nom « cyberintimidation ».
Ces activités stimulantes et amusantes, où la rapidité est la clé, donnent l’occasion aux adolescents et aux adultes de tester leurs habiletés et d’acquérir de nouvelles techniques d’authentification.
Il peut être difficile de comprendre ce que font les enfants sur les réseaux sociaux, même si les parents utilisent bon nombre des mêmes plateformes.