Trouver Des Resources
Il est naturel pour les adolescents d’être curieux quant au sexe. Les recherches de HabiloMédias suggèrent que 1 élève sur 10 de la 7e à la 11e année utilise Internet pour rechercher des renseignements sur la sexualité. Au total, 40 p. 100 des garçons recherchent du contenu pornographique en ligne, et 28 p. 100 le font tous les jours ou toutes les semaines. Le problème de la pornographie est qu’il s’agit d’une réponse malsaine à une préoccupation saine.
Relations saines
Le sextage est plus susceptible d’avoir des conséquences négatives lorsque la personne qui envoie le sexto a été contrainte de le faire.
Même si vous vous mesurez à des campagnes de marketing de plusieurs millions de dollars et à la pression des pairs, les recherches ont démontré que les enfants sont moins susceptibles de commencer à fumer ou à vapoter s’ils en ont déjà discuté avec leurs parents.
Les stéréotypes raciaux sont présents partout à la télévision et les émissions destinées à la jeunesse ne font pas exception. Le criminel au turban, l’Asiatique futé et le joueur de basket-ball noir magicien du ballon ne sont que quelques-uns des stéréotypes dont sont souvent truffés les dessins animés, les films et les téléromans. Repérer ces stéréotypes est souvent difficile pour les enfants ; pour eux, l’Amérindien brandissant son tomahawk ou l’Asiatique expert en karaté est un personnage familier et souvent fort amusant.
Je crois que tous les enfants devraient apprendre à nager. Il s’agit d’une compétence de vie cruciale que tous devraient avoir dans leur arsenal. C’est pourquoi nous avons appris à nos enfants à apprivoiser l’eau le plus tôt possible. D’abord, le bain, puis la douche (d’accord, c’est peut‑être plus une question d’hygiène dans ces deux cas), puis les arroseurs automatiques, les piscines gonflables, les pataugeoires, les plages et les lacs. Et dès que les enfants ont été en mesure de le faire, nous les avons inscrits à des cours de natation.
Quand nous pensons aux risques pour la vie privée dont sont confrontés les jeunes en ligne, nous avons tendance à imaginer des adolescents et des pré-adolescents qui partagent sans relâche des contenus sur les téléphones cellulaires et les réseaux sociaux. Toutefois, les jeunes font face à des questions associées à la vie privée à un âge de plus en plus précoce : dans le cadre d’une étude menée en 2014 au Royaume-Uni, les jeunes de 13-14 ans ont affirmé qu’ils avaient 8 1/2 ans la première fois qu’ils sont allés en ligne, les jeunes de 11-12 ans en avaient 8 et les jeunes de 9-10 ans n’en avaient que 6.[1]
Ce tutoriel initie les enfants âgés de 7 à 9 ans au concept de la vie privée en ligne et leur enseigne à faire la distinction entre les renseignements qu’ils peuvent divulguer et ceux qu’il est préférable de garder pour soi. Le tutoriel les aide également à comprendre que leur décision peut varier, selon les contextes.
Si le public semble enfin comprendre que les adolescents attachent de l’importance à leur vie privée – telle qu’ils la définissent – l’idée que les jeunes enfants ont des renseignements personnels qu’il importe de protéger est encore nouvelle. La majorité des gens seraient surpris d’apprendre à quel âge les jeunes enfants commencent à naviguer sur le Net : l’âge moyen est passé de dix ans en 2002 à quatre ans en 2009 (Findahl, Olle, Preschoolers and the Internet, présenté à la conférence EU Kids Online, Londres, 11 juin 2009. http://www.lse.ac.uk/collections/EUKidsOnline/EU%20Kids%20I/Conference%20Papers%20and%20abstracts/Emerging%20Issues/Findahl.pd) et depuis l’avènement du iPhone et du iPad, cet âge est sans doute encore plus bas.
Pirates de la vie privée initie les enfants âgés de 7 à 9 ans au concept de la vie privée en ligne et leur enseigne à faire la distinction entre les renseignements qu’ils peuvent divulguer et ceux qu’il est préférable de garder pour soi. Le tutoriel les aide également à comprendre que leur décision peut varier, selon les contextes.
Le tutoriel Pour connaître et se reconnaître, fondé sur les concepts clés de l’éducation aux médias, nous permet d’examiner la représentation de la diversité ethnique dans les nouveaux médias et les médias du divertissement et l’impact de cet état de fait sur la valorisation de ces individus et de ces groupes, au sein de notre société. Nous étudions ensuite les progrès qui s’opèrent au sein de l’industrie des médias dans le but de mieux refléter nos valeurs canadiennes et d’offrir des stratégies gagnantes, pour contrer ces représentations négatives et encourager nos jeunes à exiger une représentation médiatique plus réaliste et positive.