Résultats de la recherche
Dans cette leçon, les élèves exploreront la signification des termes « biais culturel » et « préjugé » et évalueront comment certains mots peuvent refléter un biais culturel en raison de leur connotation. En analysant pourquoi il est particulièrement important d’examiner les nouvelles pour détecter la présence possible de biais culturels, les élèves seront initiés au concept clé de l’éducation aux médias selon lequel les médias véhiculent des messages idéologiques et ont une influence sociale et politique.
Au cours de cette activité, les élèves examinent la représentation de la diversité dans les jeux vidéo en identifiant des exemples dans ceux auxquels ils s’adonnent et en comparant leurs observations aux statistiques relatives à la diversité de la population Canadienne.
Dans cette leçon, les élèves apprennent comment les techniques de propagande sont utilisées pour promouvoir la haine et l’intolérance en ligne.
Ce module de trois jours permet aux élèves d’évaluer la couverture médiatique de certaines catastrophes naturelles et des événements qui s’ensuivent.
Dans cette dernière leçon de l’unité, les élèves appliquent leurs compétences en matière de recherche et de pensée critique pour apprendre à trouver des sources légitimes en ligne pour le téléchargement et la diffusion en flux de films, de musique et de vidéos.
Dans cette leçon, les élèves appliquent ce qu’ils ont appris dans les deux premières leçons pour trouver et vérifier de l’information en ligne.
Au cours de cette leçon, les élèves sont initiés à l’histoire de la pratique du « blackface » (littéralement, « face noire » – une forme de représentation raciste traditionnelle dans laquelle les acteurs se maquillaient en noir pour évoquer les traits ethniques stéréotypés des Noirs aux États-Unis) et aux autres exemples d’acteurs qui proviennent de groupes majoritaires et jouent des personnages de groupes minoritaires, comme des acteurs blancs jouant des personnages asiatiques ou autochtones ainsi que des acteurs valides jouant des personnages atteints d’une incapacité.
Dans le cadre de cette leçon, les élèves apprennent à créer des chaînes de recherche bien définies et à utiliser des outils et des techniques telles que la mise en signet, les filtres du navigateur et les préférences du moteur de recherche pour éviter le contenu indésirable.
Dans cette leçon, les élèves apprennent à authentifier de l’information en ligne en comparant des « faits » obtenus sur le site Web http://www.legorafi.fr avec des sources autorisées.
Toute personne qui découvre aujourd’hui Internet croira sans doute que ce monde fut créé précisément pour les adolescents… Et qui s’en étonnerait ? De fait, on peut affirmer qu’Internet semble subir une constante cure de rajeunissement depuis sa création – ce monde virtuel fut d’abord celui des scientifiques, puis le monde des étudiants universitaires en 1990, et enfin le monde des enfants et des ados. Il en va de même de plusieurs sites populaires : seuls les étudiants universitaires avaient accès à Facebook à ses débuts mais il est dorénavant tout aussi prisé par les ados (en réalité, les dernières recherches nous révèlent que chez les jeunes de 8 à 12 ans au Royaume-Uni, il y en a un sur cinq qui possède son compte Facebook, bien qu’en théorie, les conditions d’utilisation spécifient qu’il faut être âgé d’au moins 13 ans pour y avoir droit). Que ce soit le réseautage social, Wikipedia ou iTunes, Internet semble être conçu sur mesure pour les ados : un environnement social intense mais donnant une impression d’intimité, offrant une stimulation constante et des résultats immédiats. Malheureusement, on enseigne rarement aux ados comment utiliser Internet et quand on le fait, on se limite à transmettre des habiletés strictement techniques, plutôt que d’enseigner aux jeunes à jeter un regard critique sur les médias numériques et à faire preuve d’éthique et de discernement sur Internet. On néglige de leur enseigner la littératie numérique parce qu’on est persuadé que les jeunes connaissent parfaitement le sujet. Ils sont très habiles et fort à l’aise lorsqu’ils utilisent les outils et les environnements virtuels, c’est vrai – mais leur situation est comparable à celle d’un élève de 10e année parlant couramment le français : il se sent très à l’aise à converser en français, sans pour autant savoir rédiger correctement un texte français…surtout si on néglige de lui enseigner les rudiments et les règles de la langue écrite. C’est ici qu’entre en jeu la littératie.